Puisquela sécurité est l’affaire de tous, elle est celle de chacun d’entre nous, d’entre vous. C’est pourquoi nous avons voulu mettre à l’honneur ces personnels qui, tous les jours de l’année et 24h/24h, accomplissent avec professionnalisme et détermination une mission de sécurité publique qui participe au maintien de l’ordre et de la discipline dans nos
L'actualité de l'OMS Page d'accueil/ Communiqués de presse/ item/ La sécurité sanitaire des aliments est l’affaire de tous Célébrée le 7 juin dans le monde entier, la toute première Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments des Nations Unies a pour objectif de garantir la sûreté de la nourriture que nous année, près d'une personne sur dix dans le monde soit près de 600 millions de personnes tombe malade et 420 000 d'entre elles meurent après avoir ingéré de la nourriture contaminée par des bactéries, des virus, des parasites ou encore des substances chimiques. Les aliments dangereux ont également pour effet de freiner le développement dans de nombreuses économies à faible et à moyen revenu, ces dernières perdant près de 95 milliards de dollars en productivité. A cela s'ajoutent les maladies, les handicaps et les décès prématurés chez les sécurité sanitaire des aliments, une affaire de tous tel est le thème de la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments pour cette année 2019. La sécurité sanitaire contribue à la sécurité alimentaire, à la santé humaine, à la prospérité économique, à l'agriculture, à l'accès aux marchés, au tourisme et au développement a désigné deux de ses agences, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture FAO et l'Organisation mondiale de la santé OMS afin de mener à bien les efforts visant à promouvoir la sécurité sanitaire des aliments à travers le FAO et l'OMS unissent leurs forces en vue d'aider les pays à prévenir, à gérer et à réduire les risques associés à la filière agroalimentaire, en travaillant aux côtés des vendeurs et des producteurs alimentaires, des autorités réglementaires et des principaux acteurs de la société civile, en fonction du lieu de production de la nourriture, à savoir si celle-ci est produite au niveau national ou importée.Si vous êtes un agriculteur, un fournisseur agricole, un transformateur alimentaire, un transporteur, un négociant ou un consommateur, la sécurité sanitaire des aliments vous concerne. Il n'y a pas de sécurité alimentaire sans sécurité sanitaire des aliments», a déclaré M. José Graziano da Silva, Directeur général de la FAO.Les aliments dangereux tuent près de 420 000 personnes chaque année. Ces décès peuvent totalement être évités», a précisé Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l'OMS. La Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments est une occasion unique de sensibiliser les gouvernements, les producteurs, les prestataires et les consommateurs aux dangers des mauvais aliments. De la ferme à l'assiette, nous avons tous un rôle à jouer pour rendre l'alimentation plus sûre», a-t-il serait rentable d'investir dans des systèmes alimentaires durablesLa FAO et l'OMS soulignent l'importance du fait que tout le monde puisse avoir accès à une nourriture saine et nutritive en quantité suffisante et que la salubrité des aliments est essentielle à la promotion de la santé et à l'éradication de la faim, soit deux éléments primordiaux des Objectifs de développement aliments sûrs permettent non seulement un apport convenable en nutriments mais aussi de mener une vie saine. La production d'aliments de bonne qualité contribue à améliorer la durabilité et la productivité en facilitant l'accès aux marchés, ce qui a aussi pour effet de stimuler le développement économique et de réduire la pauvreté, surtout en milieu davantage dans l'éducation à la salubrité alimentaire auprès des consommateurs peut potentiellement contribuer à réduire les maladies d'origine alimentaire, avec notamment un retour sur investissement de 10 dollars pour chaque dollar à la Journée internationale de la sécurité sanitaire des alimentsLes activités organisées autour de la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments visent à encourager le public à agir en vue de prévenir, de détecter et de gérer les dangers sanitaires associés à l' bonnes actions tout au long de la filière agroalimentaire, des agriculteurs aux consommateurs, ainsi qu'une bonne gouvernance et des règlementations sont essentielles afin de parvenir à la sécurité sanitaire des FAO et l'OMS ont créé un nouveau guide pour montrer comment chacun de nous pourrait participer. Le guide propose cinq étapes pour changer la donne et parvenir à la sécurité sanitaire des alimentsS'assurer que la nourriture soit sans danger. Les gouvernements doivent s'assurer que la nourriture soit sans danger et sans aucun risque. L'agriculture et les producteurs alimentaires doivent adopter de bonnes pratiques. Manipuler avec soin. Les opérateurs économiques doivent s'assurer que la nourriture est transportée, stockée et préparée sans aucun risque. Vérifier que les aliments soient sans danger. Les consommateurs doivent pouvoir accéder à des informations claires et fiables, en temps opportun, sur les risques nutritionnels et les risques de maladies associés à leurs choix équipe pour parvenir à une meilleure sécurité sanitaire. Les gouvernements, les organismes économiques régionaux, les organisations onusiennes, les agences de développement, les organisations de commerce, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les structures du secteur privé doivent travailler ensemble sur les problèmes liés à la sécurité sanitaire des aliments. Dorénavant, la date du 7 juin sera l'occasion de souligner les bienfaits associés à une nourriture saine. La Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments a été adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies en décembre 2018. Le processus a été initié en 2016 par le Costa Rica, par le biais de la Commission du Codex Alimentarius, une structure gérée par la FAO et l' et chiffres clés sur la sécurité sanitaire des alimentsPrès de 600 millions de personnes - soit presqu'une personne sur 10 dans le monde - sont tombées malades après avoir mangé de la nourriture contaminée et 420 000 d'entre elles meurent chaque enfants âgés de moins de cinq ans représentent, à eux seuls, 40 pour cent du fardeau des maladies d'origine alimentaire, avec 125 000 décès chaque maladies d'origine alimentaire trouvent leur origine dans les bactéries, virus et substances chimiques qui pénètrent dans le corps à travers la nourriture ou l'eau maladies d'origine alimentaire entravent le développement socioéconomique en mettant à rude épreuve les systèmes de santé et en fragilisant les économies, le tourisme et le commerce valeur du commerce alimentaire s'élève à 1,6 trillion de dollars américains, ce qui représente environ 10 pour cent du commerce mondial certaines estimations, les aliments dangereux coûtent aux pays à faible et à moyen revenu près de 95 milliards de dollars chaque année en perte de des pratiques en matière d'hygiène dans les secteurs de l'alimentation et de l'agriculture peuvent aider à réduire l'émergence et la propagation de la résistance aux antimicrobiens tout au long de la chaîne alimentaire et dans l'environnement. Paul Garwood Chargé de communication OMS
Enréalité, la sécurité est l’affaire de tous : chacun est responsable de sa sécurité et de celle des autres. Détaillons. Quelques chiffres. En 2014, 540 salariés ont perdu la vie au travail. Les CPAM ont enregistré 570 000 accidents du travail ayant entraîné un arrêt de travail de quatre jours et plus.
Publié le 03/11/2017 à 1006, Mis à jour le 03/11/2017 à 1102 Après la tour Eiffel avant hier, le premier ministre Édouard Philippe s'est rendu à la gare du Nord à Paris aujourd'hui pour rassurer les Français deux jours après que la loi antiterroriste a remplacé l'état d'urgence et rappeler que "la sécurité est l'affaire de tous"."Nous savons parfaitement que le niveau de menace reste élevé", a déclaré Édouard Philippe entouré, du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb et de la ministre des Transports Élisabeth Borne. "La sécurité c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelé après avoir rencontré les policiers, gendarmes, agents de la sûreté de la SNCF et de la RATP."Les défis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opérateurs sont extrêmement mobilisés pour mettre des moyens humains supplémentaires, vérifier que le cadre juridique de notre action nous permet d'apporter des réponses claires et efficaces et c'est notamment le cas depuis l'adoption de la loi antiterroriste", a-t-il dit."Et puis au-delà des moyens humains et juridiques, et au delà même des moyens matériels, je redis l'attention que nous devons tous avoir, cette vigilance collective et pas simplement la vigilance des forces de l'ordre, car ils ne pourront répondre au défi immense du terrorisme que par une attention permanente et collective de l'ensemble des citoyens", a assuré le Premier ministre.» Lire aussi - À la Tour Eiffel, Édouard Philippe défend la sortie de l'état d'urgence
Dèsdécembre, à la suite de la campagne de sensibilisation à la sécurité, tout comportement jugé « dangereux » aux abords des boucles d’autobus et des emprises ferroviaires, et ce, sur tout le réseau d’exo, sera passible d’un constat d’infraction. La sécurité est l’affaire de tous et exo en fait une mission.
Tribune – – juin 2021 Depuis 2002, la politique de Nicolas Sarkozy a transformé les missions et moyens de la police pour assurer la sécurité de tous fermeture des commissariats de proximité, dont celui de l’Ile de Thau, multiplication de la vidéosurveillance sans efficacité prouvée, centralisation des appels du 17 en déconnexion avec le terrain. Tout cela participe à détruire les liens entre habitants et police, dont les conditions de travail sont dégradées. Il est urgent aujourd’hui de retisser les relations entre la population et les forces de sécurité de l’État, les polices municipales et les services de secours, pour un travail en synergie. Travailler avec les associations qui arpentent le terrain à la rencontre des jeunes. Mobiliser des médiateurs et des agents de police municipale, dont le travail serait ancré dans la prévention et non la répression. Augmenter le nombre de policiers nationaux pour une présence en ville à la rencontre des habitants afin de repérer au plus vite les problèmes et dépêcher immédiatement des intervenants. Le maire doit relayer notre demande d’une police de sécurité du quotidien ! Surtout, nous devons passer d’une vision coercitive de la résolution des difficultés sociales et inégalités, à une vision centrée sur l’éducation, le travail social, l’emploi, l’accès aux droits, aux soins, à la culture et à un logement digne. Nous savons que ces besoins essentiels ne sont pas remplis, et cela favorise des terreaux violents et des difficultés entre citoyens et police.
Lasécurité du numérique est l’affaire de tous. Elle repose avant tout sur des mesures simples et des bonnes pratiques à adopter sans modération dans la sphère privée et professionnelle. Fondées sur le bon sens, ces précautions élémentaires ne peuvent être négligées sans s’exposer à des risques, qui exploitent souvent des vulnérabilités connues.
La sécurité sur les pistes de ski alpin est assurée dans chaque station par le service des pistes composé de personnels qualifiés spécialement formés et entraînés les pisteurs-secouristes, les conducteurs d’engins de damage, les nivoculteurs, les artificiers, les observateurs nivo-météo, les maîtres-chiens d’avalanche, les opérateurs du central des pistes. Mais la sécurité c’est aussi l’affaire de tous! Pour que votre séjour se passe au mieux et sans encombre, des règles sont à respecter. Alors prenez un instant pour connaître ces règles en visionnant le reportage ci-dessous. Les 8 règles du Piste X Code La difficulté des pistes Pour sécuriser la pratique du ski alpin, les pistes sont classées en quatre catégories identifiées par un code couleur selon leur niveau de difficulté. Des balises sont positionnées sur l’un des bords de la piste pour vous permettre de vous repérer. Elles sont numérotées par ordre décroissant et indiquent le nom de la piste sur laquelle vous évoluez. Par exemple, le chiffre 1 sur fond vert signifie que vous êtes arrivé en bas d’une piste verte. Autrement dit, en bas d'une piste de niveau facile. En cas d'accident, les indications "nom de la piste" et "n° de balise" doivent être communiquées pour faciliter l’éventuelle intervention du service des pistes. A titre d'information, seules les pistes déclarées ouvertes sont contrôlées par les pisteurs, en dehors de celles-ci vous évoluez à vos risques et périls. Pour précision, sont affichés sur les lieux de passage les plus fréquentés le bulletin météorologique et le bulletin sur le risque d'avalanche. Se préparer avant son séjour - Préparé Le ski ou le surf reste un sport. Alors pensez à vous échauffer, à doser vos efforts et vous hydrater correctement et tout ira bien! - Équipé Pour bien skier, vous devez d’abord choisir un matériel adapté à votre niveau technique, votre taille et votre poids. Le réglage et l’entretien des fixations sont ensuite essentiels pour limiter les risques en cas de chute ou de choc. Pour cela, demandez conseil dans les magasins spécialisés. - Protégé La tête est très exposée dans les sports de glisse. Pour limiter les traumatismes, portez un casque! - Assuré Les secours sur pistes ne sont pas gratuits... Avant de vous lancer, vérifiez que vous êtes bien assuré. En savoir plus sur l'assurance ski... LAISSEZ-VOUS SURPRENDRE Réservez votre forfait
Lasécurité des aliments représente une responsabilité commune. Le 7 juin 2020, l’EFSA célèbre la deuxième Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments, aux côtés de ses partenaires nationaux, européens et internationaux, notamment les parrains de l’événement au sein des Nations unies : le Codex Alimentarius,
Chaque année, le 7 juin, se tient la Journée mondiale de la sécurité alimentaire pour souligner l'importance de la sécurité alimentaire dans la réalisation du Programme 2030. ©Eleonora Grunge/ 06/06/2019Sans un accès universel à une alimentation saine, nous ne pourrons pas réaliser les objectifs du Programme 2030. On estime que 600 millions de personnes tombent malades chaque année en mangeant des aliments contaminés par des bactéries, des virus, des toxines ou des produits chimiques - et 420 000 d'entre elles en meurent. Lorsque la nourriture n'est pas saine, les enfants ne peuvent pas apprendre et les adultes ne peuvent pas travailler. En d'autres termes, le manque d'accès à des aliments sains entrave le développement humain. Pour souligner le rôle crucial de la sécurité sanitaire des aliments dans la promotion de la santé et l'élimination de la faim, la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments est célébrée chaque année le 7 juin. Son but est d'attirer l'attention et d'inspirer des actions pour aider à prévenir, détecter et gérer les risques d'origine alimentaire, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire, la santé humaine, la prospérité économique, l'agriculture, au tourisme, au développement durable et permettant l’accès aux marchés. Si vous produisez, transformez, vendez ou préparez des aliments, vous avez un rôle à jouer dans leur salubrité. Voici cinq façons de faire la différence en matière de sécurité sanitaire des aliments 1. S'assurer que la nourriture est saine Les gouvernements ont un rôle essentiel à jouer pour garantir que les aliments sont sûrs et nutritifs pour tous. Et ils ont de bonnes raisons de le faire selon la Banque mondiale, les aliments dangereux coûtent - à eux seuls - aux économies à revenu faible et moyen environ 95 milliards de dollars EU en perte de productivité annuelle. Pour aider à réduire ce chiffre, les décideurs peuvent promouvoir des systèmes agricoles et alimentaires durables, en encourageant la collaboration entre les secteurs de la santé publique, de la santé animale, de l'agriculture et autres. Les pays peuvent également se conformer aux normes internationales établies par la Commission du Codex Alimentarius. 2. Cultiver des aliments en toute sécurité Pour garantir un approvisionnement suffisant en denrées alimentaires sûres au niveau mondial tout en minimisant leur impact environnemental et en s'adaptant au changement climatique, les producteurs de denrées alimentaires doivent adopter de bonnes pratiques. Au fur et à mesure que les systèmes de production alimentaire se transforment et s'adaptent aux conditions changeantes, les agriculteurs doivent étudier soigneusement les meilleurs moyens de faire face aux risques potentiels et de s'assurer de la salubrité des aliments. Prendre en compte la santé des plantes et des animaux, par exemple, peut contribuer à combattre la résistance aux antimicrobiens et à réduire ce chiffre de 700 000 personnes qui meurent chaque année dans le monde d'infections résistantes aux antimicrobiens. La sécurité sanitaire des aliments doit être assurée à chaque étape de la chaîne de valeur - du producteur au consommateur, en passant par le vendeur. A gauche ©Edmund Lowe Photography/ A droite ©Dusan Petkovic/ 3. Préserver la salubrité des aliments Pour les exploitants d'entreprises, les contrôles préventifs peuvent résoudre la plupart des problèmes de sécurité alimentaire. Tous ceux qui participent aux opérations alimentaires - de la transformation à la vente au détail - doivent s'assurer du respect de programmes tels que le Système d’analyse des risques – points critiques pour leur maîtrise HACCP, qui identifie, évalue et maîtrise les risques importants pour la sécurité sanitaire des aliments. En plus de réduire les risques de maladie, les bonnes pratiques de transformation, de stockage et de conservation peuvent également permettre de réduire les pertes après récolte et aider à préserver la valeur nutritionnelle des aliments. Elles permettent aussi aux entreprises de maximiser leur participation à un commerce alimentaire mondial de 1,6 trillion de dollars EU. 4. Vérifier la salubrité des aliments Les consommateurs ont le pouvoir d'exiger des aliments sûrs et sains. Vu la complexité de la sécurité sanitaire des aliments, les consommateurs doivent avoir accès en temps opportun à des renseignements clairs et fiables sur les risques nutritionnels et les risques de maladie associés à leurs choix alimentaires. Investir dans l’éducation des consommateurs à la sécurité sanitaire des aliments peut permettre de réduire les maladies d'origine alimentaire et de réaliser des économies allant jusqu'à dix fois chaque dollar investi. Les consommateurs doivent avoir la capacité de faire, pour eux-mêmes, des choix alimentaires sains et pour la planète, de soutenir des systèmes alimentaires durables. 5. Soutenir ensemble la sécurité sanitaire des aliments En fin de compte, la sécurité sanitaire des aliments est une responsabilité partagée. Les gouvernements, les organismes économiques régionaux, les organisations des Nations Unies, les agences de développement, les organisations commerciales, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les entités du secteur privé doivent travailler ensemble sur ces questions qui nous concernent tous. La collaboration est nécessaire à l'échelle mondiale, régionale et locale - entre les secteurs au sein d'un gouvernement et au-delà des frontières - pour lutter contre les épidémies de maladies d'origine alimentaire dans le monde. La sécurité sanitaire des aliments est essentielle pour promouvoir la santé et éradiquer la faim. Elle pourrait sauver chaque année la vie de 420 000 personnes. ©WAYHOME studio/ La salubrité des aliments est essentielle, non seulement pour améliorer la santé et la sécurité alimentaire, mais aussi pour préserver les moyens d’existence, le développement économique, le commerce et la réputation internationale de chaque pays. Les maladies d'origine alimentaire entravent le développement socio-économique en mettant à rude épreuve les systèmes de santé et en nuisant aux économies nationales, au tourisme et au commerce. Un monde FaimZéro ne peut être atteint que si les aliments consommés sont sans danger. A l’occasion de cette Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments, soyons, comme chaque jour, reconnaissants pour la salubrité de nos aliments et prenons des mesures pour nous assurer que la sécurité alimentaire est bien l'affaire de tous. Pour en savoir plus Site web Les normes alimentaires internationales du Codex Alimentarius Site web La FAO et la sécurité sanitaire des aliments Site web Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments en anglais Récit L'avenir de l'alimentation FutureofFood dépend de l'avenir de la sécurité alimentaire Récit Si c’est nocif, ce n’est pas un aliment Récit Codex Alimentarius protéger la santé, faciliter le commerce
Lasécurité et la santé au travail sont l’affaire de tous. La SST (santé sécurité au travail) n’est pas uniquement une question de respect de la loi et représente bien plus qu’une tâche administrative. Il s’agit tout simplement
Les récents épisodes de hackage » de bases de données soit à des fins de remise de rançon, soit à des fins de piratage de fichiers d’entreprises, nous rappellent régulièrement que la donnée qui est au cœur des systèmes d’information est une valeur qu’il faut préserver. Jeanne Bossi-Malafosse, associée du cabinet Delsol Avocats. La sécurité est aujourd’hui au centre de la protection des données personnelles, et l’application prochaine, le 25 mai 2018 exactement, du nouveau Règlement européen sur la protection des données personnelles qui renforce les droits des citoyens sur leurs données, accentue les obligations en matière de sécurité des responsables de traitement. Au sein des entreprises et des organisations, la sécurité doit être un processus collectif et collaboratif défini sous la responsabilité des dirigeants et associant tous les acteurs. Le sujet de la sécurité des données à caractère personnel ne doit plus rester cantonné au seul étage de la direction des systèmes d’information. Le Règlement européen offre à cet effet de nouveaux outils pour gérer la politique de sécurité. Ainsi, à partir de la réalisation d’une analyse de risques appliquée aux traitements préalablement répertoriés, le responsable de traitement devra réaliser une étude d’impact lui permettant de mettre en place les mesures techniques et organisationnelles de nature en particulier à préserver la sécurité des données. Pour déterminer ces mesures adéquates, il doit être tenu compte de la nature particulière des données faisant l’objet du traitement et des risques présentés par la destruction, perte, altération ou divulgation éventuelle de celle-ci. L’adoption de codes de conduites ou de certifications propres à chaque secteur permettra d’aider le responsable de traitement à identifier ces mesures. Le règlement consacre également une place particulière à l’existence de garanties appropriées telles que le chiffrement ou la pseudonymisation comme participant à la sécurité des applications. Mais au-delà de ces dispositions, la sécurité reste avant tout l’affaire de chaque utilisateur et il convient d’appliquer certaines mesures de sécurité physique et logique désormais classiques – mais encore insuffisamment mises en œuvre. Peuvent être cités par exemple, les moyens d’identification et d’authentification qui incluent la définition d’une politique de gestion des mots de passe dynamique conformité aux règles posées par la CNIL pour leur composition[1], changements réguliers etc…, la gestion des habilitations de chaque utilisateur et son corollaire indispensable, le contrôle régulier de la traçabilité des accès, la sécurisation physique et logique des postes de travail locaux fermés et/ surveillés, pare-feux, antivirus et, pour les outils mobiles, chiffrement des données lors de leur transfert vers un système d’information, l’encadrement des activités de sous-traitance et en particulier de maintenance sur les systèmes, la définition d’une politique de sauvegarde assurant la restitution intègre des données. Telles sont quelques unes des mesures à mettre en œuvre dont l’effectivité permettraient de réduire de façon conséquente les risques d’intrusion. Notons également que le Règlement européen imposera demain au responsable de traitement de notifier l’existence d’une violation des données à caractère personnel à l’autorité de contrôle compétente dans les meilleurs délais et au plus tard 72 heures après en avoir pris connaissance. La sécurité des données, c’est aussi le respect des droits de la personne et la maîtrise qu’elle peut avoir de l’utilisation de ses données notion d’empowerment. Les individus restent les premiers concernés par la sécurité de leurs données soit à titre individuel, soit en tant que salarié ou employé au sein de l’organisation dans laquelle ils travaillent. Ils sont souvent les principaux acteurs de la sécurité de leurs données et surtout de l’effectivité de sa mise en œuvre quotidienne. Mais l’information sur ce qu’il est possible de faire ou de ne pas faire est souvent pour eux encore parcellaire ou inégale. Ainsi, au moment de partager ses données, l’utilisateur doit au préalable être informé et le consentement – lorsqu’il est exigé – ne doit être que l’aboutissement de cette information. Par exemple, s’agissant de l’utilisation et de l’analyse des données de navigation via les cookies, notamment à des fins de publicité comportementale, les utilisateurs doivent pouvoir contrôler l’utilisation qui est faite de leurs données de navigation sur internet en modifiant les paramètres de leur navigateur. La CNIL vient à cet égard dans sa récente délibération du 27 avril 2017, sanctionnant la société Facebook, de rappeler avec force les obligations des émetteurs de cookies ou de ceux qui utilisent l’information collectée par ce biais[2]. Le respect des droits d’accès et de communication, le nouveau droit à la portabilité des données inscrit dans le Règlement européen, sont autant d’obligations à la charge des responsables de traitement qui ne seront en mesure d’en garantir l’effectivité qu’en s’appuyant sur une politique de sécurité solide. Gageons que les nouvelles sanctions considérablement accrues par le texte européen, notamment en cas de rupture de confidentialité, constitueront une forte incitation pour les acteurs à faire du security by design. [1] Délibération n° 2017-012 du 19 janvier 2017 portant adoption d’une recommandation relative aux mots de passe [2] Délibération de la formation restreinte SAN –2017-006 du 27 Avril 2017 prononçant une sanction pécuniaire à l’encontre des sociétés FACEBOOK INC. et FACEBOOK IRELAND
Lutteantiterroriste: «La sécurité est l'affaire de tous» (Philippe) Par Le AFP Publié le 03/11/2017 à 10:06 , Mis à jour le 03/11/2017 à 11:02
Par Jean-François LafittePublié le 07/09/2017 à 3h42 Sans sécurité, pas de pacte social ! La sécurité est un élément de l’attractivité d’un territoire, mais elle a un coût. Ensemble, continuons à rester vigilant », a déclaré, jeudi soir, à Labenne, le sous-préfet, Lucien Giudicelli, en guise de conclusion à la réception de tous les acteurs de la sécurité estivale. Organisé tous les ans par la municipalité au dernier jour du mois d’août, ce moment d’échange et de partage permet de dresser les premiers bilans de l’été. Comme à Capbreton, la veille, le capitaine de gendarmerie a apprécié le renfort saisonnier de 70 gendarmes, dont huit dans la commune de Labenne. Il n’a pas été en mesure de fournir un premier bilan chiffré, qui fera toutefois apparaître un accroissement des affaires judiciaires au vu d’une fréquentation en hausse, notamment durant le mois d’août. Il s’est félicité que les huit gendarmes en présence aient permis de répondre aux différentes sollicitations de la son côté, le commandant Piet, représentant le centre de secours, n’a pas souhaité s’exprimer, le bilan définitif n’étant pas encore arrêté. Seuls les trois CRS et les sept maîtres nageurs civils ont donné une copie chiffrée de leur bilan. 390 interventionsEn revisitant la plage labennaise au cours de l’hiver, l’océan a joué en leur faveur. Les grandes marées hivernales ont, en effet, aplani la grève, ce qui a eu pour effet la suppression des rouleaux de bord si dangereux. 390 interventions auprès de baigneurs ont été recensées, dont 20 ayant entraîné une évacuation. À ces chiffres, s’ajoutent 450 petits soins, un procès-verbal pour exhibition et une affaire judiciaire qui aurait pu se terminer de façon dramatique sans la vigilance des CRS. Le moment venu, le maire, Jean-Luc Delpuech, a remercié l’ensemble des acteurs pour leur action et leur a donné rendez-vous pour une nouvelle saison, au cours de laquelle l’accueil de la gendarmerie sera amélioré. D’ici là , la saison se poursuit jusqu’au 17 septembre sur la plage et bien plus tard ailleurs, avec l’espoir que l’été indien sera clément, pour la plus grande satisfaction des nombreux vacanciers encore attendus.
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