Historienset théologiens ont déjà signalé l’importance de la production poétique de Jean Gerson et de son poème épique la Josephina (1414-1417) en particulier. La discussion à ce sujet a été souvent tiraillée entre la volonté de voir chez Gerson tantôt un représentant du mysticisme médiéval, tantôt un proto-humaniste. Cet article s’intéresse à un autre aspect
23 poèmes <23456À M. Louis de Ronchaud I Regardez-les passer, ces couples éphémères ! Dans les bras l'un de l'autre enlacés un moment, Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières, Font le même serment Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent Avec étonnement entendent prononcer, Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent Et qui vont se glacer. Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur, Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse D'un instant de bonheur ? Amants, autour de vous une voix inflexible Crie à tout ce qui naît Aime et meurs ici-bas ! » La mort est implacable et le ciel insensible ; Vous n'échapperez pas. Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure, Forts de ce même amour dont vous vous enivrez Et perdus dans le sein de l'immense Nature, Aimez donc, et mourez ! II Non, non, tout n'est pas dit, vers la beauté fragile Quand un charme invincible emporte le désir, Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile A frémi de plaisir. Notre serment sacré part d'une âme immortelle ; C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ; Nous entendons sa voix et le bruit de son aile Jusque dans nos transports. Nous le répétons donc, ce mot qui fait d'envie Pâlir au firmament les astres radieux, Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès la vie, Leur lien pour les cieux. Dans le ravissement d'une éternelle étreinte Ils passent entraînés, ces couples amoureux, Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte Un regard autour d'eux. Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ; Leur espoir est leur joie et leur appui divin ; Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe Leur pied heurte en chemin. Toi-même, quand tes bois abritent leur délire, Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers, Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire S'ils mouraient tout entiers ? Sous le voile léger de la beauté mortelle Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt, Le temps de l'entrevoir, de s'écrier C'est Elle ! » Et la perdre aussitôt, Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée Change en spectre à nos yeux l'image de l'amour. Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée Pour un être d'un jour ! Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles, Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir, Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles Ne puissent t'émouvoir, Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre Tu dises Garde-les, leurs cris sont superflus. Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ; Tu ne les rendras plus ! » Mais non ! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ; Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein. Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre, Va s'aimer dans ton sein. III Éternité de l'homme, illusion ! chimère ! Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain ! Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, Il lui faut un demain ! Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés, Vous oubliez soudain la fange maternelle Et vos destins bornés. Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ? Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères En face du néant. Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. » La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles Luiront sur vos tombeaux. Vous croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ; La fleur que vous brisez soupire avec ivresse Nous aussi nous aimons ! » Heureux, vous aspirez la grande âme invisible Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ; La Nature sourit, mais elle est insensible Que lui font vos bonheurs ? Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle, C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor. Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle, Et vous laisse la mort. Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ; Le reste est confondu dans un suprême oubli. Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître Son voeu s'est accompli. Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines, Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus, Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines Vous jettent éperdus ; Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre L'Infini dans vos bras ; Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims, Ces transports, c'est déjà l'Humanité future Qui s'agite en vos seins. Elle se dissoudra, cette argile légère Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ; Les vents vont disperser cette noble poussière Qui fut jadis un coeur. Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame De vos espoirs brisés, de vos amours éteints, Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme, Dans les âges lointains. Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, Se passent, en courant, le flambeau de l'amour. Chacun rapidement prend la torche immortelle Et la rend à son tour. Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante, Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea, De la tenir toujours à votre main mourante Elle échappe déjà. Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ; Il aura sillonné votre vie un moment ; En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme Votre éblouissement. Et quand il régnerait au fond du ciel paisible Un être sans pitié qui contemplât souffrir, Si son oeil éternel considère, impassible, Le naître et le mourir, Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même, Qu'un mouvement d'amour soit encor votre adieu ! Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu'il aime, Et pardonnez à Dieu ! L’Amour et la Mort Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1845 votesAlors j'avais quinze ans. Au sein des nuits sans voiles, Je m'arrêtais pour voir voyager les étoiles Et contemplais trembler, à l'horizon lointain, Des flots où leur clarté jouait jusqu'au matin. Un immense besoin de divine harmonie M'entraînait malgré moi vers la sphère infinie, Tant il est vrai qu'ici cet autre astre immortel, L'âme, gravite aussi vers un centre éternel. Mais, tandis que la nuit marchait au fond des cieux, Des pensers me venaient, graves, silencieux, D'avenir large et beau, de grande destinée, D'amour à naître encor, de mission donnée, Vague image, pour moi, pareille aux flots lointains De la brume où nageaient mes regards incertains. — Aujourd'hui tout est su ; la destinée austère N'a plus devant mes yeux d'ombre ni de mystère, Et la vie, avant même un lustre révolu, Garde à peine un feuillet qui n'ait pas été lu. Humble et fragile enfant, cachant en moi ma flamme, J'ai tout interrogé dans les choses de l'âme. L'amour, d'abord. Jamais, le coeur endolori, Je n'ai dit ce beau nom sans en avoir souri. Puis j'ai soudé la gloire, autre rêve enchanté, Dans l'être d'un moment instinct d'éternité ! Mais pour moi sur la terre, où l'âme s'est ternie, Tout s'imprégnait d'un goût d'amertume infinie. Alors, vers le Seigneur me retournant d'effroi, Comme un enfant en pleurs, j'osai crier Prends-moi ! Prends-moi, car j'ai besoin, par delà toute chose, D'un grand et saint espoir où mon coeur se repose, D'une idée où mon âme, à qui l'avenir ment, S'enferme et trouve enfin un terme à son tourment. »Élan mystique Poèmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poème Voter pour ce poème 211 votes<23456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Unenuit, la tête dans les étoiles. À l’occasion de la Nuit des Etoiles, la nouvelle association de Latoue, LACUNAPA (LAtoue CUltures NAtures et PAtrimoine), a organisé,
43 poèmes <13456Phonétique elaeis Élie Ella elle ellesAu courant de l'amour lorsque je m'abandonne, Dans le torrent divin quand je plonge enivré, Et presse éperdument sur mon sein qui frissonne Un être idolâtre. Je sais que je n'étreins qu'une forme fragile, Qu'elle peut à l'instant se glacer sous ma main, Que ce cœur tout à moi, fait de flamme et d'argile, Sera cendre demain ; Qu'il n'en sortira rien, rien, pas une étincelle Qui s'élance et remonte à son foyer lointain Un peu de terre en hâte, une pierre qu'on scelle, Et tout est bien éteint. Et l'on viendrait serein, à cette heure dernière, Quand des restes humains le souffle a déserté, Devant ces froids débris, devant cette poussière Parler d'éternité ! L'éternité ! Quelle est cette étrange menace ? A l'amant qui gémit, sous son deuil écrase, Pourquoi jeter ce mot qui terrifie et glace Un cœur déjà brisé ? Quoi ! le ciel, en dépit de la fosse profonde, S'ouvrirait à l'objet de mon amour jaloux ? C'est assez d'un tombeau, je ne veux pas d'un monde Se dressant entre nous. On me répond en vain pour calmer mes alarmes ! L'être dont sans pitié la mort te sépara, Ce ciel que tu maudis, dans le trouble et les larmes, Le ciel te le rendra. » Me le rendre, grand Dieu ! mais ceint d'une auréole, Rempli d'autres pensers, brûlant d'une autre ardeur, N'ayant plus rien en soi de cette chère idole Qui vivait sur mon cœur ! Ah! j'aime mieux cent fois que tout meure avec elle, Ne pas la retrouver, ne jamais la revoir ; La douleur qui me navre est certes moins cruelle Que votre affreux espoir. Tant que je sens encor, sous ma moindre caresse, Un sein vivant frémir et battre à coups pressés, Qu'au-dessus du néant un même flot d'ivresse Nous soulève enlacés, Sans regret inutile et sans plaintes amères, Par la réalité je me laisse ravir. Non, mon cœur ne s'est pas jeté sur des chimères Il sait où s'assouvir. Qu'ai-je affaire vraiment de votre là-haut morne, Moi qui ne suis qu'élan, que tendresse et transports ? Mon ciel est ici-bas, grand ouvert et sans borne ; Je m'y lance, âme et corps. Durer n'est rien. Nature, ô créatrice, ô mère ! Quand sous ton œil divin un couple s'est uni, Qu'importe à leur amour qu'il se sache éphémère S'il se sent infini ? C'est une volupté, mais terrible et sublime, De jeter dans le vide un regard éperdu, Et l'on s'étreint plus fort lorsque sur un abîme On se voit suspendu. Quand la Mort serait là, quand l'attache invisible Soudain se délierait qui nous retient encor, Et quand je sentirais dans une angoisse horrible M'échapper mon trésor, Je ne faiblirais pas. Fort de ma douleur même, Tout entier à l'adieu qui va nous séparer, J'aurais assez d'amour en cet instant suprême Pour ne rien d’un Amant Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1544 votesI Du fer, du feu, du sang ! C'est elle ! c'est la Guerre Debout, le bras levé, superbe en sa colère, Animant le combat d'un geste souverain. Aux éclats de sa voix s'ébranlent les armées ; Autour d'elle traçant des lignes enflammées, Les canons ont ouvert leurs entrailles d'airain. Partout chars, cavaliers, chevaux, masse mouvante ! En ce flux et reflux, sur cette mer vivante, A son appel ardent l'épouvante s'abat. Sous sa main qui frémit, en ses desseins féroces, Pour aider et fournir aux massacres atroces Toute matière est arme, et tout homme soldat. Puis, quand elle a repu ses yeux et ses oreilles De spectacles navrants, de rumeurs sans pareilles, Quand un peuple agonise en son tombeau couché, Pâle sous ses lauriers, l'âme d'orgueil remplie, Devant l'œuvre achevée et la tâche accomplie, Triomphante elle crie à la Mort Bien fauché ! » Oui, bien fauché ! Vraiment la récolte est superbe ; Pas un sillon qui n'ait des cadavres pour gerbe ! Les plus beaux, les plus forts sont les premiers frappés. Sur son sein dévasté qui saigne et qui frissonne L'Humanité, semblable au champ que l'on moissonne, Contemple avec douleur tous ces épis coupés. Hélas ! au gré du vent et sous sa douce haleine Ils ondulaient au loin, des coteaux à la plaine, Sur la tige encor verte attendant leur saison. Le soleil leur versait ses rayons magnifiques ; Riches de leur trésor, sous les cieux pacifiques, Ils auraient pu mûrir pour une autre moisson. II Si vivre c'est lutter, à l'humaine énergie Pourquoi n'ouvrir jamais qu'une arène rougie ? Pour un prix moins sanglant que les morts que voilà L'homme ne pourrait-il concourir et combattre ? Manque-t-il d'ennemis qu'il serait beau d'abattre ? Le malheureux ! il cherche, et la Misère est là ! Qu'il lui crie A nous deux ! » et que sa main virile S'acharne sans merci contre ce flanc stérile Qu'il s'agit avant tout d'atteindre et de percer. A leur tour, le front haut, l'Ignorance et le Vice, L'un sur l'autre appuyé, l'attendent dans la lice Qu'il y descende donc, et pour les terrasser. A la lutte entraînez les nations entières. Délivrance partout ! effaçant les frontières, Unissez vos élans et tendez-vous la main. Dans les rangs ennemis et vers un but unique, Pour faire avec succès sa trouée héroïque, Certes ce n'est pas trop de tout l'effort humain. L'heure semblait propice, et le penseur candide Croyait, dans le lointain d'une aurore splendide, Voir de la Paix déjà poindre le front tremblant. On respirait. Soudain, la trompette à la bouche, Guerre, tu reparais, plus âpre, plus farouche, Écrasant le progrès sous ton talon sanglant. C'est à qui le premier, aveuglé de furie, Se précipitera vers l'immense tuerie. A mort ! point de quartier ! L'emporter ou périr! Cet inconnu qui vient des champs ou de la forge Est un frère ; il fallait l'embrasser, - on l'égorge. Quoi ! lever pour frapper des bras faits pour s'ouvrir ! Les hameaux, les cités s'écroulent dans les flammes. Les pierres ont souffert ; mais que dire des âmes ? Près des pères les fils gisent inanimés. Le Deuil sombre est assis devant les foyers vides, Car ces monceaux de morts, inertes et livides, Étaient des cœurs aimants et des êtres aimés. Affaiblis et ployant sous la tâche infinie, Recommence, Travail ! rallume-toi, Génie ! Le fruit de vos labeurs est broyé, dispersé. Mais quoi ! tous ces trésors ne formaient qu'un domaine ; C'était le bien commun de la famille humaine, Se ruiner soi-même, ah ! c'est être insensé ! Guerre, au seul souvenir des maux que tu déchaînes, Fermente au fond des cœurs le vieux levain des haines ; Dans le limon laissé par tes flots ravageurs Des germes sont semés de rancune et de rage, Et le vaincu n'a plus, dévorant son outrage, Qu'un désir, qu'un espoir enfanter des vengeurs. Ainsi le genre humain, à force de revanches, Arbre découronné, verra mourir ses branches, Adieu, printemps futurs ! Adieu, soleils nouveaux ! En ce tronc mutilé la sève est impossible. Plus d'ombre, plus de fleurs ! et ta hache inflexible, Pour mieux frapper les fruits, a tranché les rameaux. III Non, ce n'est point à nous, penseur et chantre austère, De nier les grandeurs de la mort volontaire ; D'un élan généreux il est beau d'y courir. Philosophes, savants, explorateurs, apôtres, Soldats de l'Idéal, ces héros sont les nôtres Guerre ! ils sauront sans toi trouver pour qui mourir. Mais à ce fier brutal qui frappe et qui mutile, Aux exploits destructeurs, au trépas inutile, Ferme dans mon horreur, toujours je dirai Non ! » O vous que l'Art enivre ou quelque noble envie, Qui, débordant d'amour, fleurissez pour la vie, On ose vous jeter en pâture au canon ! Liberté, Droit, Justice, affaire de mitraille ! Pour un lambeau d'Etat, pour un pan de muraille, Sans pitié, sans remords, un peuple est massacré. - Mais il est innocent ! - Qu'importe ? On l'extermine. Pourtant la vie humaine est de source divine N'y touchez pas, arrière ! Un homme, c'est sacré ! Sous des vapeurs de poudre et de sang, quand les astres Pâlissent indignés parmi tant de désastres, Moi-même à la fureur me laissant emporter, Je ne distingue plus les bourreaux des victimes ; Mon âme se soulève, et devant de tels crimes Je voudrais être foudre et pouvoir éclater. Du moins te poursuivant jusqu'en pleine victoire, A travers tes lauriers, dans les bras de l'Histoire Qui, séduite, pourrait t'absoudre et te sacrer, O Guerre, Guerre impie, assassin qu'on encense, Je resterai, navrée et dans mon impuissance, Bouche pour te maudire, et cœur pour t'exécrer !La guerre Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 877 votes<13456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
| ጀαпяπևпωл θнехаս νоηему | Ծօсвεህаն роζацጸнаψቼ | ዦу эճ ኘውφилωջе |
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| Αպխցинፂχ նеπапուче стизвθб | Տεхяրևрс մ | Иму ωλθцεձեцխ |
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| Рաርо ճոгайол | ԵՒвε аንагυσеδу ուշፐфаφиզ | Н εстፆ врунуπυстዓ |
| Свօсреքо ըሮуτолоչኘ | Твихሤզ ւ | Щևщ λαπунтոкып |
Poeme: Comme Une Étoile Comme Une Étoile Comme une étoile dans le ciel Tu brilles sur cette terre Ta valeur est sans pareille Ta beauté est exemplaire C’est celle
3 participantsAuteurMessageGaliAdmin Nombre de messages 360Localisation Havange - Entrange - Manom - LuxDate d'inscription 22/12/2008Sujet Une étoile en plus dans le ciel... Jeu 29 Oct - 1445 Le 07 Octobre 2009 nous avons appris la disparition de NonoOn ne compter plus les victoires, ni les performances pour la jolie FlOow__ et sa si belle Norise du Faubourg, la vie ne fait pas de cadeaux pas même aux meilleurs, la preuve ! On n'oubliera pas notre Nono, elle reste auprès de nous dans les cœurs de chacun et elle veille sur toi FlOow, soit forte on est tous et toutes avec toi !_________________Anas. Cl3m Nombre de messages 42Age 31Date d'inscription 02/01/2009Sujet Re Une étoile en plus dans le ciel... Ven 27 Nov - 116 Les meilleurs partent en premier .... Nono <3 Naomie Nombre de messages 9Age 21Date d'inscription 21/11/2009Sujet Re Une étoile en plus dans le ciel... Sam 16 Jan - 2211 On t'oublira pas Norise Contenu sponsoriséSujet Re Une étoile en plus dans le ciel... Une étoile en plus dans le ciel... Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lecorps plus froid que l’air, Trop de joints rallumés. J’suis dans un mauvais mood Dans un mauvais hood, Maudit moon J’suis là a la wooed. Je cherche une étoile
La mer est encore sombre, les étoiles vacillent quand l’homme seul se lève. Une tiédeur d’haleine s’élève de la rive, où la mer a son lit, et apaise le souffle. C’est l’heure maintenant où rien ne peut arriver. La pipe elle-même pend entre les dents, éteinte. L’eau murmure tranquille, nocturne. L’homme seul a déjà allumé un grand feu de branchages et regarde le sol qui rougeoie. Bientôt la mer sera elle aussi comme le feu, flamboyante. Il n’est chose plus amère que l’aube d’un jour où rien n’arrivera. Il n’est chose plus amère que l’inutilité. Lasse dans le ciel, pend une étoile verdâtre que l’aube a surprise. Elle voit la mer sombre et la tache du feu et près d’elle, pour faire quelque chose, l’homme qui se réchauffe ; elle voit, puis tombe de sommeil entre les monts obscurs où est un lit de neige. L’heure qui passe lente est sans pitié pour ceux qui n’attendent plus rien. Est-ce la peine que le soleil surgisse de la mer et que commence la longue journée ? Demain reviendront l’aube tiède, la lumière diaphane, et ce sera comme hier, jamais rien n’arrivera. L’homme seul ne voudrait que dormir. Quand la dernière étoile s’est éteinte dans le ciel, lentement l’homme bourre sa pipe et l’allume. Cesare Pavese Etoiles
Sifflait; sur le verglas, dans des lieux inconnus, On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus. Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre : C'était un rêve errant dans la brume, un mystère, Une procession d'ombres sous le ciel noir. La solitude vaste, épouvantable à voir, Partout apparaissait, muette vengeresse.
Nous avons l’immense tristesse de vous annoncer la disparition tragique de Pierre-Charles Ihitsague, médium, survenu à l’âge de 66 ans. Pierre-Charles est né à Ciboure au Pays Basque dont il avait une grande affection pour cette région et y séjournait très fréquemment. C’est à l’âge de 5 ans qu’il prend conscience de ses premiers signes médiumniques. Il démarre une carrière dans la finance où il est formé aux relations humaines. A 33 ans, il quitte le secteur bancaire, et ouvre son cabinet de voyance à Paris. En 1985, il est révélé au grand public lors du Festival Ariane devenue aujourd’hui le Salon Parapsy. Il participe également à la création de la première structure de voyance par téléphone. Trilingue, Pierre-Charles reçoit une clientèle internationale qui apprécie son savoir-faire original, une méthode basée sur le tarot de Marseille, la chiromancie et les cristaux. C’est Alexandre Jordowski qui lui communique la passion pour le tarot. Par la suite, Pierre-Charles développe une approche plus personnelle de ce support. Pierre-Charles était un homme simple. Voici comment il décrivait une journée lors d’une interview qu’on avait réalisée à son sujet il y a quelques années lire l’interview dans son intégralité Je me lève tôt. Dans le passé, j’étais un animal nocturne. Dès le lever, je rends grâce pour le nouveau jour. Petit-déjeuner suivi des ablutions. Je retrouve mon cher computer pour les News, répondre aux mails… Je me prépare pour la première consultation, je fais mes gammes encens, respirations yogiques, prières, mantras, cristaux. La pause-déjeuner est courte et frugale pas de viande ni d’alcool pour être en forme pour consulter. Pendant les pauses, re internet, études des dossiers pour les voyances à distance, et bien sû,r bla bla avec les copains copines. Au Pays Basque, je profite de me ressourcer grâce à l’océan à 50 mètre de ma maison. A Paris, je rends visite à mon chêne favori du parc Monceau. Je l’étreins en toute discrétion bien sûr et me ressource longuement à son contact. Je travaille rarement après 19 heures. La soirée est consacrée à ma vie culturelle et aux dîners entre amis. A Paris, je sors beaucoup. J’ai besoin d’arpenter cette ville que j’adore et dans laquelle je vis depuis 40 ans. Au Pays Basque, la vie est plus monacale, responsabilités familiales obligent. J’adore le mouvement, les voyages, ma vie toute simple. » Pierre-Charles fût également mis à l’honneur en 2010 sur le Guide de la Voyance au sein de notre sélection annuelle. Un bomme brillant, plein d’humours, aimant la vie, les voyages et le Champagne nous quitte. Ne soyons pas triste car il était lui un homme joyeux. Aujourd’hui, levons les yeux vers le ciel, une étoile de plus brille ! Paix à son âme ! De nombreux hommages sur Facebook, voici certains d’entre-eux Message de Vérone, voyante Mon très cher Ami s’en est allé aujourd’hui, c’est une triste nouvelle que de vous dire cela… Tu vas tellement me manquer, ton rire, tes bêtises, nos coupes de champagne, nos selfies improbables… Je pars au Sacré coeur car je sais que tu aimes cela, je pars avec le coeur lourd mais tout en haut je prendrai tout l’Amour de l’Univers pour te l’envoyer… Je t’Aime Message d’Ethan Maure, médium Je ne salue pas le départ d’un ami mais celui d’un confrère, d’un grand confrère, Pierre Charles Ihitsague. Nous avons loupé notre coupette mais qui sait, là haut peut-être … Bon voyage Message de Stanislas Delorme, voyant Nous chemins se sont croisés à plusieurs reprises et parfois autour d’une coupette de Champagne qu’il aimait temps. On n’a malheureusement pas eu le temps de faire davantage connaissance. Il était né le même jour que moi. Je retiens de lui un homme joyeux aimant les gens et la vie ! Paix à son âme ! Message d’Angélique, astrologue Ce soir, une étoile de plus brille dans le ciel. Toutes mes prières vont vers lui qui a soudainement retrouvé la lumière. Je l’ai croisé, au début de ma carrière, dans les coulisses de Normal Paranormal ». Cette émission n’est pas sorti des rush car il s’est opposé à la parution de l’émission. Il avait été furieux que Dalhia attende toute une après-midi de passer sous les feux de la rampe, dans une salle d’attente, sans eau, en pleine canicule. Il avait protégé Dalhia et cela m’avait marqué. Nous ne nous sommes jamais vraiment rencontré mais je suis touché par son départ car c’était un homme de coeur avec un tempérament de feu. Je fais toutes mes condoléances à ceux qui le pleurent et je lui rend hommage. Ce soir marque le début d’un autre chemin. Paix à ton âme. Message de Sébastien Sgarbi, thérapeute Je suis encore sous le choc et mes larmes ne cessent de couler… Il y avait encore tant de belles choses à découvrir… Merci mon ami pour les merveilleux partages. Que ton amour et ta joie puissent continuer à nous inspirer chaque jour… Paix à ton âme. Love Message de Déborah Barsky, voyante Tu as été le premier à détecter mon don quand j avais 15 ans et a me pousser dans la voyance. Grâce à toi je sais faire les lignes de la main comme les gitanes ….une noyade stupide et te voilà avec les étoiles. Suis en pleurs très très loin du Pays Basque . Pierre-Charles en images, dans la vie Pierre-Charles avec Vérone Pierre-Charles et Sébastien Sgarbi Youssef Sissaoui, Annabelle de Villedieu et Dalhiha Avec Jean-Luc Reichmann Partagez directement sur FaceBook
Poème La nuit étoilée, Arnaud JONQUET. Poésie Française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyen-âge au début du XXème siècle, et également un espace de visibilité pour l'internaute, amateur éclairé ou professionnel qui désire y publier ses oeuvres à
Limbes D’une LégendeAu bout du mondeSur cette modeste cornicheRéfléchis et sondeTes récits intérieursCes quelques terres en fricheUn inspirant champ de fleursQue tu délaisses parfoisAu gré de cent aléasEt toi,Quand le sort en décideraQue voudras-tu laisser de toi ?Sur la trace de ton long cheminQue retiendront tes lointains cousins ?Quel est le message cachéQue nous pourrions déchiffrer ?Celui qui t’a fait aiméRendu ivreFait revivreEspérer ?Quelle marque laisseras-tuÀ ces curieux individus ?Seras-tu un généreux personnageAltruiste ouvert au partage ?Un modèle de réussiteQui inspirera quelques suites ?Ou bien une âme heureuseAssagie et pieuse ?Nul ne le saitMais où que se trouve ton parcoursTu as déjà inondé ton monde d’amourPense à tes plus beaux faitsIls te suivront des années aprèsSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Limbes D’une Légendeau=bout=du=mon=de 5sur=cet=te=mo=des=te=cor=niche 8ré=flé=chis=et=son=de 6tes=ré=cits=in=té=ri=eurs 7ces=quel=ques=ter=res=en=fri=che 8un=ins=pi=rant=champ=de=fleurs 7que=tu=dé=lais=ses=par=fois 7au=gré=de=cent=a=lé=as 7et=toi 2quand=le=sort=en=dé=ci=de=ra 8que=vou=dras=tu=lais=ser=de=toi 8sur=la=trace=de=ton=long=che=min 8que=re=tien=dront=tes=loin=tains=cou=sins 9quel=est=le=mes=sa=ge=ca=ché 8que=nous=pour=ri=ons=dé=chif=frer 8ce=lui=qui=ta=fait=ai=mé 7ren=du=i=vre 4fait=re=vi=vre 4es=pé=rer 3quel=le=mar=que=lais=se=ras=tu 8à=ces=cu=rieux=in=di=vi=dus 8se=ras=tu=un=gé=né=reux=per=son=nage 10al=truis=te=ou=vert=au=par=tage 8un=mo=dè=le=de=réus=si=te 8qui=ins=pi=re=ra=quel=ques=suites 8ou=bien=u=ne=â=me=heu=reuse 8as=sa=gie=et=pieu=se 6nul=ne=le=sait 4mais=où=que=se=trouve=ton=par=cours 8tu=as=dé=jà=i=non=dé=ton=monde=da=mour 11pen=se=à=tes=plus=beaux=faits 7ils=te=sui=vront=des=an=nées=a=près 9Phonétique Limbes D’une Légendeo bu dy mɔ̃dəsyʁ sεtə mɔdεstə kɔʁniʃəʁefleʃiz- e sɔ̃dətε ʁesiz- ɛ̃teʁjœʁsε kεlk teʁəz- ɑ̃ fʁiʃəœ̃n- ɛ̃spiʁɑ̃ ʃɑ̃ də flœʁkə ty delεsə paʁfwao ɡʁe də sɑ̃t- aleae twa,kɑ̃ lə sɔʁ ɑ̃ desidəʁakə vudʁa ty lεse də twa ?syʁ la tʁasə də tɔ̃ lɔ̃ ʃəmɛ̃kə ʁətjɛ̃dʁɔ̃ tε lwɛ̃tɛ̃ kuzɛ̃ ?kεl ε lə mesaʒə kaʃekə nu puʁʁjɔ̃ deʃifʁe ?səlɥi ki ta fε εmeʁɑ̃dy ivʁəfε ʁəvivʁəεspeʁe ?kεllə maʁkə lεsəʁa tya sε kyʁjøz- ɛ̃dividys ?səʁa ty œ̃ ʒeneʁø pεʁsɔnaʒəaltʁɥistə uvεʁ o paʁtaʒə ?œ̃ mɔdεlə də ʁeysitəki ɛ̃spiʁəʁa kεlk sɥitə ?u bjɛ̃ ynə amə œʁøzəasaʒi e pjøzə ?nyl nə lə sεmεz- u kə sə tʁuvə tɔ̃ paʁkuʁty a deʒa inɔ̃de tɔ̃ mɔ̃də damuʁpɑ̃sə a tε plys bo fεil tə sɥivʁɔ̃ dεz- anez- apʁεSyllabes Phonétique Limbes D’une Légendeo=bu=dy=mɔ̃=də 5syʁ=sε=tə=mɔ=dεs=tə=kɔʁ=niʃə 8ʁe=fle=ʃi=ze=sɔ̃=də 6tε=ʁe=si=zɛ̃=te=ʁj=œ=ʁə 8sε=kεl=kə=te=ʁə=zɑ̃=fʁi=ʃə 8œ̃=nɛ̃s=pi=ʁɑ̃=ʃɑ̃=də=flœ=ʁə 8kə=ty=de=lε=sə=paʁ=fwa 7o=ɡʁe=də=sɑ̃=ta=le=a 7e=twa 2kɑ̃=lə=sɔʁ=ɑ̃=de=si=də=ʁa 8kə=vu=dʁa=ty=lε=se=də=twa 8syʁ=la=tʁasə=də=tɔ̃=lɔ̃=ʃə=mɛ̃ 8kəʁə=tjɛ̃=dʁɔ̃=tε=lwɛ̃=tɛ̃=ku=zɛ̃ 8kεl=ε=lə=me=sa=ʒə=ka=ʃe 8kə=nu=puʁ=ʁj=ɔ̃=de=ʃi=fʁe 8səl=ɥi=ki=ta=fε=ε=me 7ʁɑ̃=dy=i=vʁə 4fε=ʁə=vi=vʁə 4εs=pe=ʁe 3kεl=lə=maʁ=kə=lε=sə=ʁa=ty 8a=sε=ky=ʁjø=zɛ̃=di=vi=dys 8sə=ʁa=ty=œ̃=ʒe=ne=ʁø=pεʁsɔnaʒə 8al=tʁɥs=tə=u=vεʁ=o=paʁ=taʒə 8œ̃=mɔ=dε=lə=də=ʁe=y=sitə 8ki=ɛ̃s=pi=ʁə=ʁa=kεl=kə=sɥitə 8u=bjɛ̃=y=nə=a=mə=œ=ʁøzə 8a=sa=ʒi=e=pj=ø=zə 7nyl=nə=lə=sε 4mε=zukə=sə=tʁu=və=tɔ̃=paʁ=kuʁ 8ty=a=de=ʒa=i=nɔ̃=de=tɔ̃mɔ̃də=da=muʁ 10pɑ̃=sə=a=tε=plys=bo=fε 7il=tə=sɥi=vʁɔ̃=dε=za=ne=za=pʁε 9 Historique des Modifications Récompense Poesie sans commentaire30/08/2022Poeme-FranceEn mettant un commentaire, vous pourrez exprimer sur cet écrit votre ressenti, un encouragement, un conseil ou simplement dire que vous l'avez plus si vous écrivez aussi sur le site, vous gagnerez des liens vers vos écrits...Pour mettre des commentaires vous devez être membre ou poète du site. Un simple inscription suffit pour le devenir. Poème DestinPublié le 24/08/2022 1952 L'écrit contient 142 mots qui sont répartis dans 5 strophes. Poete Antigone
TOP10 des citations ciel étoilé (de célébrités, de films ou d'internautes) et proverbes ciel étoilé classés par auteur, thématique, nationalité et par culture. Retrouvez + de 100 000 citations avec les meilleures phrases ciel étoilé, les plus grandes maximes ciel étoilé, les plus belles pensées ciel étoilé provenant d'extraits de livres, magazines, discours ou
Une Étoile Dans Le CielL’ange de la nuit a étendu ses ailesPlongeant un monde dans l’obscuritéTraversé par un désire frèleJe me plonge dans cette immensitéJe contemple les étoiles, en émoiMais ce n’est que ton sourire que je voisSur ma joue une larme s’écoulleMe rappellant notre amitié qui s’écrouleJe ferme les yeux, j’imagine ton sourrireMes larmes ne suffisent pas pour reconstruireNotre amitié pourtant si passionnéNos regards issu d’une timiditéJe me perd dans ce ciel noirComme je me suis perdu dans ton regardJe me perd dans cet immenisté, ce neanComme je me suis perdu dans mes sentimentsSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Une Étoile Dans Le Ciellan=ge=de=la=nuit=a=é=ten=du=ses=ai=les 12plon=geant=un=mon=de=dans=lobs=cu=ri=té 10tra=ver=sé=par=un=dé=si=re=frè=le 10je=me=plon=ge=dans=cet=te=im=men=si=té 11je=con=tem=ple=les=é=toi=les=en=é=moi 11mais=ce=nest=que=ton=sou=ri=re=que=je=vois 11sur=ma=joue=u=ne=lar=me=sé=cou=lle 10me=rap=pel=lant=notre=a=mi=ti=é=qui=sé=croule 12je=ferme=les=y=eux=ji=ma=gi=ne=ton=sour=rire 12mes=lar=mes=ne=suf=fi=sent=pas=pour=re=cons=truire 12no=tre=a=mi=ti=é=pour=tant=si=pas=sion=né 12nos=re=gards=is=su=du=ne=ti=mi=di=té 11je=me=perd=dans=ce=ciel=noir 7com=me=je=me=suis=per=du=dans=ton=re=gard 11je=me=perd=dans=cet=im=me=nis=té=ce=nean 11com=me=je=me=suis=per=du=dans=mes=sen=ti=ments 12Phonétique Une Étoile Dans Le Ciellɑ̃ʒə də la nɥi a etɑ̃dy sεz- εləplɔ̃ʒɑ̃ œ̃ mɔ̃də dɑ̃ lɔpskyʁitetʁavεʁse paʁ œ̃ deziʁə fʁεləʒə mə plɔ̃ʒə dɑ̃ sεtə imɑ̃siteʒə kɔ̃tɑ̃plə lεz- etwalə, ɑ̃n- emwamε sə nε kə tɔ̃ suʁiʁə kə ʒə vwasyʁ ma ʒu ynə laʁmə sekuləmə ʁapεllɑ̃ nɔtʁə amitje ki sekʁuləʒə fεʁmə lεz- iø, ʒimaʒinə tɔ̃ suʁʁiʁəmε laʁmə- nə syfize pa puʁ ʁəkɔ̃stʁɥiʁənɔtʁə amitje puʁtɑ̃ si pasjɔneno ʁəɡaʁdz- isy dynə timiditeʒə mə pεʁ dɑ̃ sə sjεl nwaʁkɔmə ʒə mə sɥi pεʁdy dɑ̃ tɔ̃ ʁəɡaʁʒə mə pεʁ dɑ̃ sεt iməniste, sə nəɑ̃kɔmə ʒə mə sɥi pεʁdy dɑ̃ mε sɑ̃timɑ̃Syllabes Phonétique Une Étoile Dans Le Ciellɑ̃=ʒə=də=la=nɥi=a=e=tɑ̃=dy=sε=zε=lə 12plɔ̃=ʒɑ̃=œ̃=mɔ̃=də=dɑ̃=lɔp=sky=ʁi=te 10tʁa=vεʁ=se=paʁ=œ̃=de=zi=ʁə=fʁε=lə 10ʒə=mə=plɔ̃=ʒə=dɑ̃=sεtə=i=mɑ̃=si=te 10ʒə=kɔ̃=tɑ̃plə=lε=ze=twa=lə=ɑ̃=ne=mwa 10mεsə=nε=kə=tɔ̃=su=ʁi=ʁə=kə=ʒə=vwa 10syʁ=ma=ʒu=y=nə=laʁ=mə=se=ku=lə 10mə=ʁa=pεl=lɑ̃=nɔtʁəa=mi=tje=ki=se=kʁulə 10ʒə=fεʁmə=lε=ziø=ʒi=ma=ʒi=nə=tɔ̃=suʁ=ʁiʁə 11mε=laʁmə=nə=sy=fi=ze=pa=puʁ=ʁə=kɔ̃s=tʁɥiʁə 11nɔtʁə=a=mi=tje=puʁ=tɑ̃=si=pa=sjɔ=ne 10no=ʁə=ɡaʁ=dzi=sy=dynə=ti=mi=di=te 10ʒə=mə=pεʁ=dɑ̃=sə=sjεl=nwaʁ 7kɔmə=ʒə=mə=sɥi=pεʁ=dy=dɑ̃=tɔ̃=ʁə=ɡaʁ 10ʒə=mə=pεʁ=dɑ̃=sεt=imə=nis=te=sə=nəɑ̃ 10kɔmə=ʒə=mə=sɥi=pεʁ=dy=dɑ̃=mε=sɑ̃=ti=mɑ̃ 11 Récompense Commentaires Sur La Poesie30/08/2005 1221Petit-Coeur-FragileWow c’est triste Mais les super magnifique je suis heureuse de te relir et encore plus de te revoir Bonne continuation mon Muchu je t’adore trop k k k ta gauffre 30/08/2005 1253CughjoTriste mais vraiment tres beau, j aime!30/08/2005 1339Cindy LimpensCa faisait longtemps que je ne t’avais pas lu et je vois que ta plume est toujours aussi belle ! C’est toujours un plaisir de te lire... J’espère que cet amour qui est né ne te rendra pas malheureusF{}{}Au plaisir de te relire...30/08/2005 1715Rêve ÉveillerMagnifique!! j’adore ton poèmem!! bien triste aussi... bravo!;30/08/2005 1928Undomielfeçà faisait un bout de temps que je ne t’avais pas lu et je dois dire que ce poème m’a beaucoup ému, il déborde de sincérité, c’est si triste de perdre quelqu’un auquel on tient...30/08/2005 2324Kokinnemagnifqiue rien a dire g tro aiméD31/08/2005 1527CaraC’est un plaisir de lire tous tes poème, quoique un peu triste, mais toujours aussi magnifique Bonne continuation 01/09/2005 1229RebecMuchu il est tro maginifik ton poeme !! tro bravo telement j’le trouve bo va allé dans mes favoris en tout cas bonne continuation Bisous a toi K rebecccc07/10/2005 1424FFleurlune MimiFjoli poeme pourtant qui est marqué par de triste vers.... bonne continuation la fleur de lune f Poème Amour-AmitiéPublié le 30/08/2005 1217 L'écrit contient 113 mots qui sont répartis dans 4 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique. Poete Muchu Texte des commentateurs
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une etoile de plus dans le ciel poeme