dessalariés, conformément à l'article D. 8222-5-3° du code du travail) si cette déclaration n'est pas déjà demandée dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprÚs). - Si le candidat est établi ou domicilié à l'étranger, une déclaration sur l'honneur du

Le travail dissimulĂ© ou familiĂšrement appelĂ© "travail au noir" est lourde de consĂ©quences pour l’employeur. En raison des implications, et de ses consĂ©quences, toute action en justice doit ĂȘtre faite sur la base d’élĂ©ments objectifs et matĂ©riellement constatĂ©s. Il importe donc de voir les situations dans lesquelles il y a travail dissimulĂ© et la rĂ©pression en la matiĂšre. Le lĂ©gislateur a progressivement renforcĂ© la lutte contre le travail illĂ©gal. Le travail illĂ©gal vise les cas de travail dissimulĂ©, le prĂȘt illicite de main-d’Ɠuvre, le cumul irrĂ©gulier d’emplois, l’emploi irrĂ©gulier des travailleurs Ă©trangers et la fausse dĂ©claration en vue d’obtenir des revenus de remplacement. Depuis la loi du 11 mars 1997 relative au renforcement de la lutte contre le travail illĂ©gal, le terme de travail clandestin a Ă©tĂ© remplacĂ© par celui de travail dissimulĂ© afin d’éviter la confusion entre la situation des ressortissants Ă©trangers ne disposant pas de titre rĂ©gulier pour travailler ou de sĂ©jour et celle des travailleurs non dĂ©clarĂ©s par l’employeur. Le dispositif de lutte contre le travail illĂ©gal a Ă©tĂ© renforcĂ© par la loi du 16 juin 2011. Le travail dissimulĂ© est dĂ©fini et interdit par les articles L. 8221-2, L. 8221-3 et L. 8221-5 du Code du travail. Le Code du travail vise deux types de situations. En cas de travail dissimulĂ©, le contrevenant s’expose Ă  des sanctions financiĂšres, pĂ©nales et administratives. Le salariĂ©, victime dispose en outre de plusieurs voies pour faire reconnaĂźtre son prĂ©judice. I- Champ d’application du travail dissimulĂ© La loi dĂ©termine les situations dans lesquelles il y a travail dissimulĂ©. Le Code du travail renvoie Ă  deux hypothĂšses. Le travail dissimulĂ© par dissimulation d’activitĂ© Article L. 8221-3 du Code du travail Le travail dissimulĂ© par dissimulation d’emploi salariĂ© Article L. article L. 8221-5 du code du travail A- Le travail dissimulĂ© par dissimulation d’activitĂ© Quelles sont ces situations et les activitĂ©s spĂ©cifiques visĂ©es ? 1- Les cas incriminĂ©s Cette hypothĂšse a cours en cas de crĂ©ation de sociĂ©tĂ© ou d’entreprise. L’article L. 8221-3 du Code du travail dĂ©finit la dissimulation d’activitĂ© Est rĂ©putĂ© travail dissimulĂ© par dissimulation d’activitĂ©, l’exercice Ă  but lucratif d’une activitĂ© de production, de transformation, de rĂ©paration ou de prestation de services ou l’accomplissement d’actes de commerce par toute personne qui, se soustrayant intentionnellement Ă  ses obligations 1° Soit n’a pas demandĂ© son immatriculation au rĂ©pertoire des mĂ©tiers ou, dans les dĂ©partements de la Moselle, du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, au registre des entreprises ou au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s, lorsque celle-ci est obligatoire, ou a poursuivi son activitĂ© aprĂšs refus d’immatriculation, ou postĂ©rieurement Ă  une radiation ; 2° Soit n’a pas procĂ©dĂ© aux dĂ©clarations qui doivent ĂȘtre faites aux organismes de protection sociale ou Ă  l’administration fiscale en vertu des dispositions lĂ©gales en vigueur. » L’infraction est donc constituĂ©e par l’exercice d’une activitĂ© professionnelle sans l’accomplissement des formalitĂ©s d’immatriculation au rĂ©pertoire des mĂ©tiers, au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ou au registre des entreprises. Lorsque l’immatriculation n’est pas obligatoire, c’est l’absence des dĂ©clarations obligatoires qui est sanctionnĂ©e. Ainsi, pour les professions libĂ©rales, agricoles et similaires, le dĂ©lit de travail dissimulĂ© est constituĂ© par le dĂ©faut de dĂ©clarations obligatoires auprĂšs des organismes fiscaux et de protection sociale. La dissimulation d’activitĂ© est Ă©galement constituĂ© lorsque toute personne qui exerce une activitĂ© Ă  but lucratif ne procĂšde pas aux dĂ©clarations qui doivent ĂȘtre faites auprĂšs des organismes de protection sociale de l’administration fiscale. Est Ă©galement constitutif du dĂ©lit de travail dissimulĂ© La poursuite d’activitĂ© Ă  la suite d’une liquidation judiciaire ou aprĂšs un refus d’immatriculation, ou encore aprĂšs la radiation d’un registre professionnel ; L’absence d’immatriculation d’un Ă©tablissement secondaire ; L’exercice d’une activitĂ© diffĂ©rente de celle pour laquelle l’immatriculation a Ă©tĂ© requise. La Chambre criminelle de la Cour de cassation a ainsi jugĂ©e Ă  propos du dĂ©faut d’inscription modificative au rĂ©pertoire des mĂ©tiers [] la demande d’inscription modificative audit rĂ©pertoire Ă©tant une formalitĂ© obligatoire, son omission volontaire doit ĂȘtre assimilĂ©e au dĂ©faut d’immatriculation prĂ©vu Ă  l’article L. 324-10. 1o du Code du travail » Cass. crim. 23-5-1995 n° 2- Les activitĂ©s visĂ©es L’article L. 8221-3 du Code du travail Ă©nonce qu’il s’agit de l’exercice Ă  but lucratif d’une activitĂ© de production, de transformation, de rĂ©paration ou de prestation de services ou l’accomplissement d’actes de commerce par toute personne qui, se soustrayant intentionnellement Ă  ses obligations ». L’URSSAF prĂ©cise qu’il s’agit de toutes activitĂ©s des secteurs Ă©conomiques de l’industrie et des services, les activitĂ©s de commerce et de vente. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, il s’agit de toutes les activitĂ©s lucratives qu’elles soient exercĂ©es par des travailleurs indĂ©pendants, des professions libĂ©rales, des sociĂ©tĂ©s ou tout autre personne morale. B- Le travail dissimulĂ© par dissimulation d’emploi salariĂ© Dans cette situation, c’est l’employeur qui est visĂ© et non pas dans la crĂ©ation d’activitĂ© comme dans l’hypothĂšse prĂ©cĂ©dente. 1-Les situations incriminĂ©es L’article L. 8221-5 du Code du travail dĂ©finit la situation de dissimulation d’emploi salariĂ©. Est rĂ©putĂ© travail dissimulĂ© par dissimulation d’emploi salariĂ© le fait pour tout employeur 1° Soit de se soustraire intentionnellement Ă  l’accomplissement de la formalitĂ© prĂ©vue Ă  l’article L. 1221-10, relatif Ă  la dĂ©claration prĂ©alable Ă  l’embauche ; 2° Soit de se soustraire intentionnellement Ă  l’accomplissement de la formalitĂ© prĂ©vue Ă  l’article L. 3243-2, relatif Ă  la dĂ©livrance d’un bulletin de paie, ou de mentionner sur ce dernier un nombre d’heures de travail infĂ©rieur Ă  celui rĂ©ellement accompli, si cette mention ne rĂ©sulte pas d’une convention ou d’un accord collectif d’amĂ©nagement du temps de travail conclu en application du titre II du livre Ier de la troisiĂšme partie. » Ainsi, l’employeur qui ne dĂ©clare pas ses salariĂ©s et ne dĂ©clare pas la rĂ©munĂ©ration exacte commet un dĂ©lit de travail dissimulĂ©. De ce fait, la remise d’un bulletin de paie ne mentionnant qu’une partie de la rĂ©munĂ©ration versĂ©e est constitutive de travail dissimulĂ© par dissimulation d’emploi salariĂ©. L’employeur est susceptible d’ĂȘtre poursuivi pour infraction de travail illĂ©gal mais aussi une infraction fiscale ou infraction relative Ă  la protection sociale. La situation de travail dissimulĂ© peut ĂȘtre dĂ©terminĂ©e lorsque l’employeur soutient que le travail est bĂ©nĂ©vole se caractĂ©risant par une absence de contrat de travail et soutenant que les travailleurs sont des travailleurs indĂ©pendants, artisans, ou des professions libĂ©rales. Le juge a ainsi requalifiĂ© la relation en contrat de travail. Ainsi le juge a dĂ©cidĂ© que sous le couvert de contrats de sous-traitance fictifs, le prĂ©venu avait en connaissance de cause employĂ© des salariĂ©s dissimulĂ©s » Cass. crim. 22 fĂ©vrier 2000, n°99-84643. Pour une entreprise commerciale, le bĂ©nĂ©volat, de par son but non lucratif, ne peut constituer le moyen de pourvoir des postes nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation de l’objet social. La jurisprudence a caractĂ©risĂ© la situation de travail dissimulĂ© en cas d’emploi irrĂ©gulier de salariĂ©s, mĂȘme Ă  titre occasionnel. qu’il n’importe que le recours Ă  ces pratiques ait Ă©tĂ© occasionnel, l’article L. 324-10 du Code du travail dans sa rĂ©daction applicable Ă  l’espĂšce, ne faisant pas du caractĂšre habituel une condition de l’infraction » Cass. crim. 30 juin 1995, n°94-82375. Le travail dissimulĂ© est aussi caractĂ©risĂ© en cas d’emploi d’un faux stagiaire. le statut dĂ©rogatoire de stage suppose que l’objectif de celui-ci soit en relation avec la formation de l’étudiant et qu’il y ait une convention avec l’établissement qui assure la formation, les tĂąches confiĂ©es Ă  Ana-Maria Y... et Anna Z... n’étaient pas en rapport avec leurs Ă©tudes et l’organisme signataire de la convention de stage n’assurait aucune formation ; que les juges en dĂ©duisent que le dĂ©lit de fourniture illĂ©gale de main-d’Ɠuvre Ă  but lucratif est constituĂ© Ă  l’encontre de la sociĂ©tĂ© Actions langues qui savait que les emplois qu’elle proposait ne rentraient pas dans le cadre d’une convention de stage » ; Cass. crim 26 mai 2010, n°09-86095 Le travail dissimulĂ© est aussi caractĂ©risĂ© par le fait de dĂ©signer des personnes comme Ă©tant cogĂ©rants alors qu’en rĂ©alitĂ© ces derniĂšres Ă©taient des salariĂ©s. Dans cette espĂšce, les cogĂ©rants Ă©taient en rĂ©alitĂ© des salariĂ©s de la SARL, Ă©levĂ©s Ă  ces fonctions pour dissimuler le montage juridique rĂ©alisĂ© Cass. crim. 21 juin 1999, n°98-88103. Les travailleurs indĂ©pendants lorsqu’il est Ă©tabli qu’un faux travailleur indĂ©pendant ou un faux auto-entrepreneur doit ĂȘtre requalifiĂ© en salariĂ©, le donneur d’ordre qui a eu recours Ă  ce dernier est considĂ©rĂ© comme l’employeur de ce salariĂ© dissimulĂ©. Ainsi, nombre de "prestations de services" de faux indĂ©pendants sont requalifiĂ©es en contrats de travail. Le cas du forfait jour le salariĂ© titulaire d’un forfait jours voit son temps de travail dĂ©comptĂ© en jours et non plus en heures. Ainsi, sur le bulletin de paie, le nombre d’heures n’est pas mentionnĂ©. Dans une espĂšce, l’employeur a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  verser une indemnitĂ© de six mois de salaire au titre du travail dissimulĂ© Mais attendu, d’abord, que la cour d’appel, qui a constatĂ© que l’employeur avait appliquĂ© au salariĂ© le systĂšme du forfait en jours sans qu’ait Ă©tĂ© conclue une convention de forfait en jours et relevĂ© que ce cadre travaillait rĂ©guliĂšrement plus de dix heures par jour, a fait ressortir le caractĂšre intentionnel de l’absence de la mention, sur les bulletins de salaire, de toutes les heures accomplies au delĂ  de la durĂ©e lĂ©gale ». Si le salariĂ© dĂ©montre la volontĂ© de l’employeur d’échapper Ă  la dĂ©claration de ces heures, il peut ĂȘtre considĂ©rĂ© dans une situation de travail dissimulĂ© puisque le bulletin de paie ne fait pas apparaĂźtre la rĂ©alitĂ© des heures effectivement travaillĂ©es et payĂ©es. Une fois encore, le travail dissimulĂ© suppose que soit concrĂ©tisĂ© le caractĂšre intentionnel de la dĂ©marche de l’employeur. Pour la Chambre sociale de la Cour de cassation, la sous-Ă©valuation, pendant plusieurs annĂ©es, d’un bulletin de paie caractĂ©rise le travail dissimulĂ© Mais attendu que la dissimulation d’emploi salariĂ© prĂ©vue par l’article L. 8221-5 du code du travail est caractĂ©risĂ©e lorsqu’il est Ă©tabli que l’employeur a, de maniĂšre intentionnelle, mentionnĂ© sur le bulletin de paie un nombre d’heures de travail infĂ©rieur Ă  celui rĂ©ellement effectuĂ© ; que les juges du fond apprĂ©cient souverainement l’existence d’une telle intention » Cass. soc. 20-6-2013, n°10-20507. En cas de convention ou d’accord d’annualisation du temps de travail, il n’y a pas de dĂ©lit de sous-Ă©valuation du bulletin de paie Cass. crim. 16-4-2013 n° 2- Les activitĂ©s visĂ©es L’URSSAF prĂ©cise que toutes les activitĂ©s, quelle qu’en soit la nature, pour laquelle il y a emploi de personnel salariĂ©s est concernĂ©. Sont cependant exclues les travaux d’urgence dont l’exĂ©cution immĂ©diate est nĂ©cessaire pour prĂ©venir les accidents imminents ou organiser les mesures de sauvetage. En ce qui concerne la dissimulation d’emploi salariĂ©, la volontĂ© de dissimuler doit ĂȘtre rĂ©elle. La Chambre criminelle de la Cour de cassation prĂ©cise rĂ©guliĂšrement que cette attitude doit ĂȘtre intentionnelle Mais attendu que la dissimulation d’emploi salariĂ© prĂ©vue par le dernier alinĂ©a de l’article L. 324-10 du Code du travail n’est caractĂ©risĂ©e que s’il est Ă©tabli que l’employeur a, de maniĂšre intentionnelle, mentionnĂ© sur les bulletins de paie un nombre d’heures de travail infĂ©rieur Ă  celui rĂ©ellement effectuĂ© » Cass. crim. 29 octobre 2003, n°01-44940. II- La rĂ©pression du travail illĂ©gal Le lĂ©gislateur a organisĂ© une protection du salariĂ© en cas de travail dissimulĂ©, la jurisprudence en prĂ©cise les contours. Par ailleurs, le lĂ©gislateur organise un systĂšme de rĂ©pression en cas de travail dissimulĂ©. A- Au regard de la situation du salariĂ© Le salariĂ© a un droit d’information sur sa situation. En cas de travail dissimulĂ© Ă©tabli, il peut obtenir le rĂ©tablissement des droits. 1- Droit d’informations du salariĂ© Selon l’article du Code du travail, Le salariĂ© obtient des agents de contrĂŽle mentionnĂ©s Ă  l’article L. 8271-7, dans des conditions dĂ©finies par dĂ©cret, les informations relatives Ă  l’accomplissement par son employeur de la dĂ©claration prĂ©alable Ă  l’embauche le concernant ». Il s’agit des services de la police judiciaire, de la direction gĂ©nĂ©rale des impĂŽts, de la direction gĂ©nĂ©rale des douanes, des organismes de SĂ©curitĂ© sociale, des caisses de mutualitĂ© agricole, de l’inspection du travail, des affaires maritimes, de l’aviation civile ou des transports terrestres. Par exemple, un salariĂ© qui a des doutes sur la rĂ©gularitĂ© de sa situation peut demander au service de l’URSSAF s’il a Ă©tĂ© rĂ©guliĂšrement dĂ©clarĂ©. Le salariĂ© obtient les informations relatives Ă  l’accomplissement par l’employeur de la dĂ©claration prĂ©alable Ă  l’embauche le concernant sur demande Ă©crite. La rĂ©ponse par les services concernĂ©s doit ĂȘtre adressĂ©e au salariĂ© dans les trente jours qui suivent la rĂ©ception de sa demande. Par ailleurs, il convient de prĂ©ciser que la situation de travail dissimulĂ© justifie la prise d’acte de la rupture. 2- Une indemnitĂ© forfaitaire de six mois de salaire Le salariĂ© peut, au moment de la rupture de son contrat de travail, formuler une demande d’indemnisation pour travail dissimulĂ© devant le Conseil de prud’hommes. S’il est Ă©tabli une situation de travail dissimulĂ©, le salariĂ© a droit Ă  une indemnitĂ© de six mois de salaire. La Chambre sociale de la Cour de cassation a jugĂ© que l’indemnitĂ© forfaitaire peut se cumuler avec les indemnitĂ©s de toute nature avec les indemnitĂ©s de toute nature auxquelles le salariĂ© a droit en cas de rupture de la relation de travail Cass. soc. 06 fĂ©v. 2013, n°11-23738. Cette indemnitĂ© peut donc se cumuler avec l’indemnitĂ© pour licenciement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse ; l’indemnitĂ© pour non-respect de la procĂ©dure de licenciement ; l’indemnitĂ© de requalification d’un CDD en CDI ; les dommages et intĂ©rĂȘts pour violation de l’ordre des licenciements ; l’indemnitĂ© compensatrice de prĂ©avis et l’indemnitĂ© de congĂ©s payĂ©s. 3- Dommages et intĂ©rĂȘts du prĂ©judice rĂ©sultant de la dissimulation Le salariĂ© a la possibilitĂ© d’obtenir des dommages et intĂ©rĂȘts pour faire rĂ©parer le prĂ©judice causĂ© par la dissimulation de son emploi. Ce prĂ©judice peut dĂ©couler de la difficultĂ© Ă  trouver un logement ou Ă  obtenir un crĂ©dit faute de bulletins de paie 4- ResponsabilitĂ© civile Le salariĂ© qui a Ă©tĂ© en situation de travail dissimulĂ© doit rĂ©gulariser sa situation fiscale et sociale. Si la volontĂ© de frauder du salariĂ© est Ă©tablie, il peut Ă  titre de sanction se voir priver du bĂ©nĂ©fice de certaines prestations sociales. Tout ou partie des indemnitĂ©s journaliĂšres dues par le salariĂ© peut ĂȘtre retenue par les organismes de maladie Les ASSEDIC peuvent supprimer le revenu de remplacement et sanctionner pĂ©nalement le travailleur pour fraude aux allocations. B- Sanctions pĂ©nales et administrative L’employeur qui a Ă©tĂ© reconnu coupable de travail dissimulĂ© encourt des sanctions pĂ©nales mais aussi des sanctions administratives. De mĂȘme, peut ĂȘtre reconnu coupable de l’infraction de travail illĂ©gal le client qui conclut des contrats avec une sociĂ©tĂ© dont il n’a pas vĂ©rifiĂ© si elle s’était acquittĂ©e de l’accomplissement des formalitĂ©s obligatoires Article L. 8222-2 du Code du travail. 1- Sanctions pĂ©nales Toute infraction Ă  l’interdiction du travail dissimulĂ© est puni d’un emprisonnement de trois ans et d’une amende de 45 000 225 000 pour les personnes morales, et de peine complĂ©mentaire notamment d’interdiction d’exercer l’activitĂ© professionnelle Article L 8224-1 du Code de Commerce. L’emploi dissimulĂ© d’un mineur soumis Ă  l’obligation scolaire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 d’amende. 2- Sanctions administratives Aux sanctions pĂ©nales, s’ajoutent des sanctions administratives. Il s’agit notamment de La dissolution si la personne morale a Ă©tĂ© créée pour commettre les faits ; L’interdiction d’exercer l’activitĂ© pendant cinq ans au plus directement ou par personne interposĂ©e ; La fermeture de l’établissement jusqu’à trois mois sur simple transmission du procĂšs-verbal au prĂ©fet ; Le remboursement des aides publiques octroyĂ©es au cours des 12 mois prĂ©cĂ©dant l’établissement du procĂšs verbal ; Le refus des aides publiques Ă  l’emploi et Ă  la formation professionnelle pour une durĂ©e maximale de cinq ans aux personnes physiques et morales ayant Ă©tĂ© verbalisĂ©es pour une infraction de travail dissimulĂ© ; L’exclusion des marchĂ©s publics jusqu’à cinq ans Il ressort en dĂ©finitive que la situation de travail dissimulĂ© est assez complexe et tient compte de situation d’espĂšce, l’intention de frauder devant ĂȘtre rĂ©elle. L’employeur devra Ă©viter toute situation ambiguĂ« pouvant conduire Ă  le faire condamner pour dĂ©lit de travail dissimulĂ©. La dĂ©nonciation du salariĂ© pour travail dissimulĂ© est suffisamment grave pour l’employeur, il devra obtenir de maniĂšre objective tous les Ă©lĂ©ments indispensables avant toute action judiciaire. Charteorthotypographique du Journal officiel; AutoritĂ©s indĂ©pendantes. AutoritĂ©s administratives indĂ©pendantes et autoritĂ©s publiques indĂ©pendantes relevant du statut gĂ©nĂ©ral dĂ©fini par la loi n° 2017-55 du 20 janvier 2017; AutoritĂ©s ne relevant pas du statut gĂ©nĂ©ral des autoritĂ©s administratives indĂ©pendantes; Entreprises Documents de candidatures, certificats et attestations CMP 2006 2016 [abrogĂ©] Annexe au dĂ©cret n° 2006-975 du 1er aoĂ»t 2006 portant code des marchĂ©s publics CMP 2006-2016 [abrogĂ©] Titre III - Passation des marchĂ©s Chapitre III - RĂšgles gĂ©nĂ©rales de passation Section 6 - PrĂ©sentation des documents et renseignements fournis par les candidats Article 46 [Documents de candidatures, certificats et attestations] I. - Sous rĂ©serve des dispositions du VI de l’article 45, le candidat auquel il est envisagĂ© d’attribuer le marchĂ© produit en outre 1° Les piĂšces prĂ©vues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail ; ces piĂšces sont Ă  produire tous les six mois jusqu’à la fin de l’exĂ©cution du marchĂ© ; 2° Les attestations et certificats dĂ©livrĂ©s par les administrations et organismes compĂ©tents prouvant qu’il a satisfait Ă  ses obligations fiscales et sociales. Un arrĂȘtĂ© des ministres intĂ©ressĂ©s fixe la liste des administrations et organismes compĂ©tents ainsi que la liste des impĂŽts et cotisations sociales devant donner lieu Ă  dĂ©livrance du certificat. II. - Afin de satisfaire aux obligations fixĂ©es au 2° du I, le candidat Ă©tabli dans un Etat autre que la France produit un certificat Ă©tabli par les administrations et organismes du pays d’origine. Lorsqu’un tel certificat n’est pas dĂ©livrĂ© par le pays concernĂ©, il peut ĂȘtre remplacĂ© par une dĂ©claration sous serment, ou dans les Etats oĂč un tel serment n’existe pas, par une dĂ©claration solennelle faite par l’intĂ©ressĂ© devant l’autoritĂ© judiciaire ou administrative compĂ©tente, un notaire ou un organisme professionnel qualifiĂ© du pays. III. - Le marchĂ© ne peut ĂȘtre attribuĂ© au candidat dont l’offre a Ă©tĂ© retenue que si celui-ci produit dans le dĂ©lai imparti les certificats et attestations prĂ©vus au I et au II. S’il ne peut produire ces documents dans le dĂ©lai imparti, son offre est rejetĂ©e et le candidat Ă©liminĂ©. Le candidat dont l’offre a Ă©tĂ© classĂ©e immĂ©diatement aprĂšs la sienne est sollicitĂ© pour produire les certificats et attestations nĂ©cessaires avant que le marchĂ© ne lui soit attribuĂ©. Si nĂ©cessaire, cette procĂ©dure peut ĂȘtre reproduite tant qu’il subsiste des offres qui n’ont pas Ă©tĂ© Ă©cartĂ©es au motif qu’elles sont inappropriĂ©es, irrĂ©guliĂšres ou inacceptables. V. ― Le pouvoir adjudicateur peut exiger que les candidats joignent une traduction en français, certifiĂ©e conforme Ă  l'original par un traducteur assermentĂ©, aux documents rĂ©digĂ©s dans une autre langue qu'ils remettent en application du prĂ©sent article. Circulaire du 14 fĂ©vrier 2012 relative au Guide de bonnes pratiques en matiĂšre de marchĂ©s publics - NOR EFIM1201512C La vĂ©rification de la rĂ©gularitĂ© de la situation fiscale et sociale de l’attributaire Le candidat auquel il est envisagĂ© d’attribuer le marchĂ© doit produire des preuves de la rĂ©gularitĂ© de sa situation au regard de ses obligations sociales et fiscales. A cette fin, il doit produire des attestations et certificats dĂ©livrĂ©s par les administrations compĂ©tentes 223. 223 Rappel les attestations sociales et fiscales ne doivent ĂȘtre exigĂ©es qu’au moment de l’attribution. Les acheteurs publics veilleront Ă  ne pas imposer aux entreprises des formalitĂ©s inutiles en demandant ces attestations au stade du dĂ©pĂŽt des candidatures. Le dĂ©faut de prĂ©sentation de ces documents par le candidat rend obligatoire le rejet de son offre. Le candidat dont l’offre a Ă©tĂ© classĂ©e immĂ©diatement aprĂšs la sienne est alors sollicitĂ© pour produire Ă  son tour les certificats et attestations nĂ©cessaires. Cette procĂ©dure est, le cas Ă©chĂ©ant, renouvelĂ©e jusqu’à Ă©puisement des offres classĂ©es. Dans le cas des accords-cadres, ces documents ne sont pas exigĂ©s des attributaires de l’accord-cadre, mais uniquement des attributaires des marchĂ©s subsĂ©quents. Les attestations fiscales et sociales Pour prouver qu’il a satisfait Ă  ses obligations fiscales et sociales, le candidat, dont l’offre a Ă©tĂ© classĂ©e premiĂšre retenue, doit produire des attestations et certificats dĂ©livrĂ©s par les administrations compĂ©tentes. Il peut s’agir d’une copie de l’état annuel des certificats reçus, dont le modĂšle figure au formulaire NOTI2 224. 224 Le formulaire NOTI2 remplace la production des certificats fiscaux et sociaux. Il peut ĂȘtre tĂ©lĂ©chargĂ© Ă  l’adresse suivante Si le montant du contrat est Ă©gal ou supĂ©rieur Ă  3 000 euros, le candidat retenu doit, en outre, fournir les piĂšces prĂ©vues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail relatifs Ă  la lutte contre le travail dissimulĂ© et Ă©tablissant qu’il - s’est acquittĂ© des formalitĂ©s mentionnĂ©es aux articles L. 8221-3 225 et L. 8221-5 226 du code du travail ; - est Ă  jour de ses obligations de dĂ©claration et de paiement auprĂšs des organismes de recouvrement que sont les URSSAF, les caisses gĂ©nĂ©rales de sĂ©curitĂ© sociales et caisses d’allocations familiales et les caisses de mutualitĂ© sociale agricole. L’attestation est dĂ©livrĂ©e dans les conditions de l’article L. 243-15 du code de sĂ©curitĂ© sociale 227. Depuis le 1er janvier 2012, le donneur d’ordre est tenu de s’assurer de l’authenticitĂ© de cette attestation auprĂšs de l’organisme de recouvrement des cotisations de sĂ©curitĂ© sociale art. D. 8222-5 et D. 8222-7 du code du travail. 225 Le cas Ă©chĂ©ant, immatriculation au rĂ©pertoire des mĂ©tiers, au registre des entreprises ou au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ; dĂ©clarations aux organismes de protection sociale et Ă  l’administration fiscale. Les entreprises nouvellement créées et celles qui ne sont pas soumises Ă  l’obligation d’inscription sur le registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ou au rĂ©pertoire des mĂ©tiers peuvent produire une copie certifiĂ©e du rĂ©cĂ©pissĂ© de dĂ©pĂŽt du centre de formalitĂ©s des entreprises. 226 DĂ©claration prĂ©alable Ă  l’embauche ; dĂ©livrance d’un bulletin de paie ; dĂ©clarations relatives aux salaires ou aux cotisations sociales. 227 L’attestation est dĂ©livrĂ©e dĂšs lors que la personne acquitte les cotisations et contributions dues Ă  leur date d’exigibilitĂ© et, le cas Ă©chĂ©ant, qu’elle a souscrit et respecte un plan d’apurement des cotisations et contributions restant dues ou conteste leur montant par recours contentieux, Ă  l’exception des recours faisant suite Ă  une verbalisation pour travail dissimulĂ©. Le candidat peut se procurer ces certificats et attestations officiels aux lieux fixĂ©s par l’arrĂȘtĂ© du 31 janvier 2003 pris pour l’application de l’article 46 du code des marchĂ©s publics et de l’article 8 du dĂ©cret n° 97-638 du 31 mai 1997 pris pour l’application de la loi n° 97-210 du 11 mars 1997 relative au renforcement de la lutte contre le travail illĂ©gal. A dĂ©faut de respecter ces obligations de vĂ©rification, si son cocontractant s’avĂšre avoir recours au travail dissimulĂ©, le donneur d’ordre sera reconnu solidairement responsable des sommes dues par le contrevenant, en application de l’article L. 8222-2 du code du travail 228. 228 Paiement des impĂŽts, taxes, cotisations obligatoires, pĂ©nalitĂ©s et majoration dus au TrĂ©sor ou aux organismes de protection sociale, remboursement des aides publiques Ă©ventuelles et paiement des rĂ©munĂ©rations, indemnitĂ©s et charges au salariĂ©. En cours d’exĂ©cution du contrat, les obligations pesant sur le donneur d’ordre sont de deux natures - un dispositif de vigilance art. L. 8222-1 du code du travail - le donneur d’ordre demande, tous les six mois art. D. 8222-4 Ă  D. 8222-8 du code du travail, Ă  son cocontractant, de lui transmettre l’ensemble des piĂšces prĂ©vues par le code du travail art. D. 8222-4 et D. 8222-5 du code du travail pour le cocontractant Ă©tabli en France, art. D. 8222-6 Ă  D. 8222-8 pour celui Ă©tabli Ă  l’étranger ; ces documents sont mentionnĂ©s dans le formulaire NOTI1 - Information au candidat retenu » ; - Ă  dĂ©faut, il encourt la responsabilitĂ© solidaire de l’article L. 8222-2 du code du travail ; - un dispositif d’alerte prĂ©vu Ă  l’article L. 8222-6 voir point Le candidat retenu doit Ă©galement remettre au maĂźtre de l’ouvrage, avant la notification du marchĂ© et tous les six mois durant l’exĂ©cution de ce marchĂ©, la piĂšce mentionnĂ©e aux articles D. 8254-2 Ă  D. 8254-5 du code du travail. Il s’agit de la liste nominative des salariĂ©s Ă©trangers qu’il emploie et soumis Ă  l’autorisation de travail mentionnĂ©e aux articles L. 5221-2, 3 et 11 du code du travail. Cette liste prĂ©cise, pour chaque salariĂ©, sa date d’embauche, sa nationalitĂ© ainsi que le type et le numĂ©ro d’ordre du titre valant autorisation de travail. Le contrĂŽle de ces dispositifs revĂȘt une particuliĂšre importance. L’attention de l’acheteur est attirĂ©e sur le fait que, en cas d’infraction commise par son cocontractant Ă  la rĂ©glementation relative Ă  l’emploi d’étrangers, il sera solidairement sanctionnĂ©, s’il n’a pas procĂ©dĂ© aux vĂ©rifications exigĂ©es. Cas particulier du dispositif d’alerte en matiĂšre de lutte contre le travail dissimulĂ© L’article 93 de la loi n° 2011-525 du 17 mai 2011 de simplification et d’amĂ©lioration de la qualitĂ© du droit a modifiĂ© l’article L. 8222-6 du code du travail relatif Ă  la lutte contre le travail dissimulĂ© 229. 229 Pour plus de dĂ©tail, voir la fiche technique Renforcement du dispositif de lutte contre le travail dissimulĂ© », accessible Ă  l’adresse suivante Tout contrat Ă©crit, passĂ© par une personne morale de droit public, doit dĂ©sormais prĂ©voir qu’une pĂ©nalitĂ© peut ĂȘtre infligĂ©e au cocontractant qui ne respecterait pas les obligations prĂ©vues aux articles L. 8221-3 Ă  L. 8221-5 du code du travail. Si, dans le cadre du dispositif d’alerte, le cocontractant n’a pas donnĂ© suite Ă  la mise en demeure de rĂ©gulariser sa situation, la personne publique pourra appliquer les pĂ©nalitĂ©s contractuelles ou rompre le contrat sans indemnitĂ©s, aux frais et risques de l’entrepreneur. Cette clause doit prĂ©voir le montant des pĂ©nalitĂ©s applicables dans les limites suivantes - il doit ĂȘtre, au plus, Ă©gal Ă  10 % du montant du contrat ; - il peut excĂ©der celui des amendes encourues en application des articles L. 8224-1, L. 8224-2 et L. 8224-5 du code du travail. L’obligation imposĂ©e par l’article L. 8222-6 n’exonĂšre pas le pouvoir adjudicateur - de l’obligation de vĂ©rification, avant signature du contrat procĂ©der aux vĂ©rifications prĂ©vues par l’article L. 8222-1 du code du travail ; - de la mise en Ɠuvre du dispositif de vigilance, en cours d’exĂ©cution du contrat obligation de demander pĂ©riodiquement l’ensemble des piĂšces prĂ©vues par les articles D. 8222-4 et D. 8222-5 ou D. 8222-6 Ă  D. 8222-8 de ce mĂȘme code. Modifications du CMP 2006-2016 [abrogĂ©] DĂ©cret n° 2014-1097 du 26 septembre 2014 portant mesures de simplification applicables aux marchĂ©s publics - NOR EINM1412633D Cet article a Ă©tĂ© modifiĂ© par le dĂ©cret n° 2008-1334 du 17 dĂ©cembre 2008 modifiant diverses dispositions rĂ©gissant les marchĂ©s soumis au code des marchĂ©s publics et aux dĂ©crets pris pour l'application de l'ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 relative aux marchĂ©s passĂ©s par certaines personnes publiques ou privĂ©es non soumises au code des marchĂ©s publics NOR ECEM0816144D Article 60 I. ― Au 1° du I de l'article 46 et Ă  l'article 47 du code des marchĂ©s publics, les mots R. 324-4 ou R. 324-7 du code du travail » sont remplacĂ©s par les mots D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail ». II. ― Le IV de l'article 46 est ainsi rĂ©digĂ© IV. ― Le pouvoir adjudicateur peut exiger que les candidats joignent une traduction en français, certifiĂ©e conforme Ă  l'original par un traducteur assermentĂ©, aux documents rĂ©digĂ©s dans une autre langue qu'ils remettent en application du prĂ©sent article. » Code des marchĂ©s publics 2006-2016 [abrogĂ©] PrĂ©sentation des documents et renseignements fournis par les candidats Article 43 [Interdictions de soumissionner] Article 44 [PiĂšces Ă  l’appui des candidatures] Article 45 [Documents de candidature exigibles] Article 46 [Documents de candidatures, certificats et attestations] Article 47 [Documents de candidatures, inexactitude des documents et renseignements, sanctions] Examen des candidatures Article 52 [SĂ©lection des candidatures] DĂ©matĂ©rialisation de marchĂ©s publics Article 56 [Communications et Ă©changes d’informations par voie Ă©lectronique] Textes Articles R. 324-4 ou R. 324-7 du code du travail ArrĂȘtĂ© du 31 janvier 2003 pris pour l’application de l’article 46 du code des marchĂ©s publics et de l’article 8 du dĂ©cret n° 97-638 du 31 mai 1997 pris pour l’application de la loi n° 97-210 du 11 mars 1997 relative au renforcement de la lutte contre le travail illĂ©gal, modifiĂ© par l’arrĂȘtĂ© du 28 dĂ©cembre 2004 Jurisprudence CAA Lyon, 25 fĂ©vrier 2016, n° 14LY03280 Indemnisation du pouvoir adjudicateur lorsqu'une sociĂ©tĂ© attributaire retire son offre pendant le dĂ©lai de validitĂ© des offres CE, 24 fĂ©vrier 2010, n° 333569, CommunautĂ© de commune de l'Enclave des Papes, PubliĂ© au recueil Lebon L’information appropriĂ©e des candidats sur les critĂšres d’attribution d’un marchĂ© public est nĂ©cessaire dĂšs l’engagement de la procĂ©dure d’attribution du marchĂ©, dans l’avis d’appel public Ă  concurrence ou le cahier des charges y compris pour les marchĂ©s passĂ©s selon la procĂ©dure adaptĂ©e. CE, 6 mars 2009, n° 314610, SELARL Legitima - Commune d’Aix en Provence RĂ©fĂ©rences et critĂšres de choix des offres dans les procĂ©dures adaptĂ©es. Dans un marchĂ© de services juridiques l’acheteur peut demander des rĂ©fĂ©rences nominatives sous rĂ©serve que les rĂ©fĂ©rences soient soumises Ă  leur accord prĂ©alable et exprĂšs. Formulaires marchĂ©s publics de la DAJ de Bercy Formulaires du MINEFI Formulaires pour les marchĂ©s publics nationaux et europĂ©ens AAPC, formulaires pour la passation et l'exĂ©cution de marchĂ©s publics Formulaires DC1 DC2 DC4 ATTRI1 ATTRI2 ... Entreprises Appels d’offres publics Comment y rĂ©pondre ? - Conseils aux TPE, PME, entreprises et artisans - 12 mai 2009 - 16 h 00 Entreprise - TPE - PME - RĂ©pondre Ă  un appel d'offres public, Entreprise - TPE - PME - RĂ©pondre Ă  un appel d'offres ouvert, Entreprise - TPE - PME - RĂ©pondre Ă  un appel d'offres restreint, Entreprises - Comment complĂ©ter un document PDF dans le cadre d'un appel d'offres public ? Questions Ă©crites au sĂ©nat ou Ă  l'assemblĂ©e nationale - RĂ©ponses ministĂ©rielles QE SĂ©nat n° 11279, JO SĂ©nat du 21/01/2010 - Page 131 - CaractĂšre obligatoire des rubriques relatives aux niveaux minimaux de capacitĂ© dans les appels d'offres
Déclaration sur l'honneur du candidat attestant qu'il est en rÚgle, au cours de l'année précédant celle au cours de laquelle a lieu le lancement de la consultation, au regard des articles L. 5212-1, L. 5212-2, L. 5212 5 et L. 5212-9 du code du travail, concernant l'emploi des travailleurs handicapés- Formulaire Dc1, Lettre de candidature _ Habilitation du mandataire par ses co
Vous avez, en tant que donneur d’ordre, certaines obligations vis-Ă -vis des contrats que vous signez avec vos fournisseurs. L’article D 8222-5 du code du travail paru en novembre 2011 est trĂšs strict, tout comme plus rĂ©cemment, le dĂ©cret n°2016-360 du 25 mars 2016 relatif aux marchĂ©s publics. Que dit exactement la loi sur les obligations du donneur d’ordre ? Comment Attestation LĂ©gale et HIVEO vous accompagnent pour sĂ©curiser vos obligations avec une approche adaptĂ©e en fonction du type de fournisseur ? Faisons le point ! Obligations du donneur d’ordre, que dit la loi ? L’article D 8222-5 du code du travail paru en novembre 2011 rappelle que chaque donneur d’ordre ayant recours Ă  une prestation de services ou un acte de commerce, doit exiger de son fournisseur un certain nombre de documents lĂ©gaux Kbis, attestation de vigilance, liste des salariĂ©s Ă©trangers soumis Ă  autorisation de travail pour tout contrat supĂ©rieur Ă  5000€. Selon le dĂ©cret n°2016-360 de mars 2016 relatif aux marchĂ©s publics, vos fournisseurs seront dans l’obligation de postuler Ă  vos appels d’offres de maniĂšre dĂ©matĂ©rialisĂ©e Ă  partir du 1er octobre 2018. En outre, en tant qu’acheteur, vous devrez, Ă  partir de cette date, proposer Ă  vos candidats potentiels une plateforme de dĂ©matĂ©rialisation de leurs documents de candidature regroupant ces trois critĂšres d’accessibilitĂ© gratuit, confidentiel et sĂ©curisĂ©. Par ailleurs, si le fournisseur dispose dĂ©jĂ  d’une solution vous offrant un accĂšs gratuit Ă  ses documents, vous serez dans l’obligation d’accepter cet accĂšs. TĂ©lĂ©charger le guide pratique de la DAJ Mais alors, quelle plateforme permet de proposer une solution gratuite Ă  ses fournisseurs tout en acceptant les modes de fonctionnement dĂ©jĂ  mis en place par ceux-ci, afin d’ĂȘtre conforme au code des marchĂ©s publics ? HIVEO la solution unique qui agrĂšge 100% des flux fournisseurs Afin de vous garantir un respect de vos obligations vis-Ă -vis de vos fournisseurs, Attestation LĂ©gale s’est connectĂ©e Ă  une autre plateforme web sĂ©curisĂ©e HIVEO. GrĂące Ă  une interface ergonomique et centrĂ©e sur l’utilisateur, HIVEO sĂ©curise et authentifie les dossiers lĂ©gaux de vos fournisseurs automatiquement. Contrairement Ă  la plateforme Attestation LĂ©gale, les relances auprĂšs de vos fournisseurs et la mise Ă  jour des documents sont Ă  la charge du donneur d’ordre. GrĂące Ă  HIVEO, chaque fournisseur sera en mesure de dĂ©poser gratuitement ses documents sur une plateforme de dĂ©matĂ©rialisation. Vous pourrez, en tant que donneur d’ordre, collecter de maniĂšre illimitĂ©e les documents de vos fournisseurs, qu’ils soient rĂ©currents ou non. Par ailleurs, si le fournisseur est dĂ©jĂ  prĂ©sent sur le rĂ©seau Attestation LĂ©gale, ses documents seront automatiquement rĂ©cupĂ©rĂ©s et diffusĂ©s sur la plateforme HIVEO. La connexion entre ces deux plateformes vous permettra de gĂ©rer une base unique de fournisseurs alimentĂ©e par deux flux Les fournisseurs qui financent dĂ©jĂ  un abonnement offrant un accĂšs gratuit aux donneurs d’ordres sur Attestation LĂ©gale ; Les fournisseurs n’étant pas en mesure de fournir un accĂšs dĂ©matĂ©rialisĂ© se verront offrir un accĂšs gratuit et sĂ©curisĂ© sur HIVEO. Une base de fournisseurs unique alimentĂ©e par 2 flux Vous l’aurez compris, grĂące Ă  HIVEO, simplifiez votre quotidien administratif et centraliser vos Ă©changes sur un seul et unique outil. HIVEO une solution qui permet de sĂ©curiser la position des donneurs d’ordres publics, tout en Ă©tant conforme Ă  la lĂ©gislation – dĂ©cret n°2016-360 du 25 mars 2016 relatif au code des marchĂ©s publics. Larticle D-8222-5 du Code du travail prĂ©voit en effet que : “ La personne qui contracte, () est considĂ©rĂ©e comme ayant procĂ©dĂ© aux vĂ©rifications imposĂ©es par l’article L. 8222-1 si elle se fait remettre par son cocontractant, lors de la conclusion et tous les six mois jusqu’à la fin de son exĂ©cution: Aperçu de l'annonce AVIS DE MARCHÉ DĂ©partements de publication 60 Services - Nom et adresse officiels de l'organisme acheteur Ville de MĂ©ru. Correspondant BRISACQ ELODIE, 1 Place de l'HĂŽtel de ville 60110 MERU tĂ©l. 03-44-52-36-41 Courriel ebrisacq Adresse internet Adresse internet du profil d'acheteur Objet du marchĂ© Gardiennage et sĂ©curitĂ© Ă©vĂ©nementielle CaractĂ©ristiques principales Refus des variantes. Date prĂ©visionnelle de dĂ©but des prestations fournitures/services 03 Octobre 2022 Justifications Ă  produire quant aux qualitĂ©s et capacitĂ©s du candidat Documents Ă  produire obligatoirement par le candidat, Ă  l'appui de sa candidature -Copie du ou des jugements prononcĂ©s, si le candidat est en redressement judiciaire si ces documents ne sont pas dĂ©jĂ  demandĂ©s dans le cadre du formulaire DC2, ci-aprĂšs. -DĂ©claration sur l'honneur du candidat justifiant qu'il n'entre dans aucun des cas d'interdiction de soumissionner obligatoires prĂ©vus aux articles L. 2141-1 Ă  L. 2141-5 ou aux articles L. 2141-7 Ă  L. 2141-10 du code de la commande publique ou, pour les marchĂ©s publics de dĂ©fense ou de sĂ©curitĂ©, qu'il n'entre dans aucun des cas d'interdiction de soumissionner obligatoires prĂ©vus aux articles L. 2341-1 Ă  L. 2341-3 ou aux articles L. 2141-7 Ă  L. 2341-5 du code de la commande publique si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ  demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. -DĂ©claration sur l'honneur du candidat attestant qu'il est en rĂšgle, au cours de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant celle au cours de laquelle a lieu le lancement de la consultation, au regard des articles L. 5212-1, L. 5212-2, L. 5212 5 et L. 5212-9 du code du travail, concernant l'emploi des travailleurs handicapĂ©s si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ  demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. -Si le candidat est Ă©tabli en France, une dĂ©claration sur l'honneur du candidat justifiant que le travail est effectuĂ© par des salariĂ©s employĂ©s rĂ©guliĂšrement au regard des articles L. 1221-10, L. 3243-2 et R. 3243-1 du code du travail dans le cas oĂč le candidat emploie des salariĂ©s, conformĂ©ment Ă  l'article D. 8222-5-3° du code du travail si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ  demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. Documents Ă  produire Ă  l'appui des candidatures par le candidat, au choix de l'acheteur public -DĂ©claration concernant le chiffre d'affaires global et le chiffre d'affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marchĂ©, rĂ©alisĂ©s au cours des trois derniers exercices disponibles renseignements Ă  inscrire dans le formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -DĂ©claration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l'importance du personnel d'encadrement pour chacune des trois derniĂšres annĂ©es dĂ©claration Ă  produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -PrĂ©sentation d'une liste des principales fournitures ou des principaux services effectuĂ©s au cours des trois derniĂšres annĂ©es, indiquant le montant, la date et le destinataire public ou privĂ©. Les livraisons et les prestations de services sont prouvĂ©es par des attestations du destinataire ou, Ă  dĂ©faut, par une dĂ©claration de l'opĂ©rateur Ă©conomique documents Ă  fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -Formulaire DC1, Lettre de candidature - Habilitation du mandataire par ses co-traitants disponible Ă  l'adresse suivante -Formulaire DC2, DĂ©claration du candidat individuel ou du membre du groupement.disponible Ă  l'adresse suivante -S'il s'appuie, pour prĂ©senter sa candidature, sur les capacitĂ©s professionnelles, techniques et financiĂšres d'autres opĂ©rateurs Ă©conomiques, le candidat produit les mĂȘmes documents concernant cet opĂ©rateur Ă©conomique que ceux qui lui sont exigĂ©s par l'acheteur public. Le candidat doit Ă©galement apporter la preuve que chacun de ces opĂ©rateurs Ă©conomiques mettra Ă  sa disposition les moyens nĂ©cessaires, pendant toute la durĂ©e d'exĂ©cution du marchĂ© public ou de l'accord-cadre documents Ă  produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. Documents Ă  produire obligatoirement par l'attributaire, avant la signature et la notification du marchĂ© public ou de l'accord-cadre formulaire NOTI1 -Les piĂšces prĂ©vues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail. -Si l'attributaire est Ă©tabli en France, les attestations et certificats dĂ©livrĂ©s par les administrations et organismes compĂ©tents prouvant qu'il a satisfait Ă  ses obligations fiscales et sociales ou un Ă©tat annuel des certificats reçus formulaire NOTI2. La transmission et la vĂ©rification des documents de candidatures peut ĂȘtre effectuĂ©e par le dispositif MarchĂ© public simplifiĂ© sur prĂ©sentation du numĂ©ro de SIRET non CritĂšres d'attribution Offre Ă©conomiquement la plus avantageuse apprĂ©ciĂ©e en fonction des critĂšres Ă©noncĂ©s ci-dessous avec leur pondĂ©ration. - Prix 60%; - Valeur technique 40%. Type de procĂ©dure procĂ©dure adaptĂ©e. Date limite de rĂ©ception des offres 19 Juillet 2022 Ă  1200 DĂ©lai minimum de validitĂ© des offres 120 jours Ă  compter de la date limite de rĂ©ception des offres. Autres renseignements NumĂ©ro de rĂ©fĂ©rence attribuĂ© au marchĂ© par le pouvoir adjudicateur / l'entitĂ© adjudicatrice 22MS015 Date d'envoi du prĂ©sent avis Ă  la publication 15 Juin 2022.

Enapplication des articles D.8222-7 et 8 du Code du Travail, le titulaire, s'il est établi ou domicilié à l'étranger, est tenu de produire tous les six mois jusqu'à la fin de l'exécution du marché, les documents demandés par ledit article. En application des articles D.8254-2 à 5 du Code du Travail et avant la notification du marché, le

Version en vigueur depuis le 01 mai 2008CrĂ©ation DĂ©cret n°2008-244 du 7 mars 2008 - art. VLe particulier qui contracte pour son usage personnel, celui de son conjoint, partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ©, concubin ou de ses ascendants ou descendants, est considĂ©rĂ© comme ayant procĂ©dĂ© aux vĂ©rifications imposĂ©es par l'article L. 8222-4 s'il se fait remettre par son cocontractant Ă©tabli ou domiciliĂ© Ă  l'Ă©tranger, lors de la conclusion du contrat et tous les six mois jusqu'Ă  la fin de son exĂ©cution, l'un des documents Ă©numĂ©rĂ©s Ă  l'article D. 8222-7. 1 une attestation de fourniture des dĂ©clarations sociales et de paiement des cotisations et contributions de sĂ©curitĂ© sociale prĂ©vue Ă  l'article l. 243-15 Ă©manant de l'organisme de protection sociale chargĂ© du recouvrement des cotisations et des contributions datant de moins de six mois dont elle s'assure de l'authenticitĂ© auprĂšs de l'organisme Pour accĂ©der Ă  la version de cette notice Ă  jour de la rĂ©forme de 2016, cliquez du DC1NOTE Les Ă©lements apparaissant en rouge ci-dessous sont nos commentaires vous permettant de remplir efficacement votre DC1. Cliquez ici pour tĂ©lĂ©chargez le DC1 en format RTFIl est important de noter qu'en cas de candidature groupĂ©e, un seul DC1 est nĂ©cessaire. Cependant, tous les membres du groupement prĂ©senteront un PUBLICS ET ACCORDS-CADRELETTRE DE CANDIDATUREHABILITATION DU MANDATAIRE PAR SES CO-TRAITANTS DC1Le formulaire DC1 est un modĂšle de lettre de candidature qui peut ĂȘtre utilisĂ© par les candidats aux marchĂ©s publics ou accords-cadres pour prĂ©senter leur candidature. En cas d'allotissement, ce document peut ĂȘtre commun Ă  plusieurs peut aussi ĂȘtre utilisĂ© par les groupements d'entreprises comme document d'habilitation du groupements d'entreprises remplissent un document unique ; chaque membre du groupement le signe et produit les renseignements ou documents demandĂ©s par le pouvoir adjudicateur ou l'entitĂ© adjudicatrice formulaire DC2. Reprendre le contenu de la mention figurant dansl'avis d'appel public Ă  la concurrence ou la lettre de consultation.Reprendre les coordonnĂ©s de l'acheteur public qui passe le informations se trouvent dans l'avis de publicitĂ© ou dans le rĂšglement de la Mairie de X.....Nom de la personne responsable du marchĂ© ...14, rue ........TĂ©lFaxE-mailB - Objet de la consultation.Reprendre le contenu de la mention figurant dans l'avis d'appel public Ă  la concurrence ou la lettre de consultation.Reprendre l'intitulĂ© de l'objet du marchĂ©. Celui-ci est inscrit dans l'avis de publicitĂ© et sur la page de garde du RĂšglement de la " RĂ©alisation du site Internet de la communautĂ© de communes " Il est important de reprendre l'intitulĂ© exact de l'objet du - Objet de la candidature.Cocher la case correspondante.Cette section permet d'identifier clairement Ă  quelle partie du marchĂ© vous informations qui vous permettent de remplir cette section se trouvent dans l'avis d'appel public Ă  la concurrence AAPC et/ou dans lerĂšglement de la consultation RC.Il s'agit ici de cocher la case qui correspond Ă  la rĂ©ponse formulĂ©e par l' candidature est prĂ©sentĂ©e pour le marchĂ© public ou pour l'accord-cadre en cas de non allotissement ; Cochez cette case si vous rĂ©pondez Ă  l'ensemble du marchĂ© et que celui-ci n'est pas dĂ©composĂ© en lot. pour le lot n°

. ou les lots n°




 de la procĂ©dure de passation du marchĂ© public ou de l'accord-cadre en cas d'allotissement ; Cochez cette case si vous ne rĂ©pondez qu'Ă  un ou plusieurs lots de la procĂ©dure. PrĂ©cisez le numĂ©ro ainsi que l'intitulĂ© du ou des lots auxquels vous rĂ©pondez.Indiquer l'intitulĂ© du ou des lots tels qu'ils figurent dans l'avis d'appel public Ă  la concurrence ou la lettre de consultation. pour tous les lots de la procĂ©dure de passation du marchĂ© public ou de l'accord-cadre. Cochez cette case, si vous rĂ©pondez Ă  l'ensemble des lots du - PrĂ©sentation du candidat.Cocher la case correspondante.Cette section permet de vous identifier en tant que candidat et de savoir si vous rĂ©pondez seul ou en candidat peut ĂȘtre une personne physique ou une personne morale qui se prĂ©sente seule ou en groupement. Cochez la case correspondante Ă  votre situation. Le candidat se prĂ©sente seul Cochez cette case si vous vous prĂ©sentez seul[Indiquer le nom commercial et la dĂ©nomination sociale du candidat individuel, les adresses de son Ă©tablissement et de son siĂšge social si elle est diffĂ©rente de celle de l'Ă©tablissement, son adresse Ă©lectronique, ses numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone et de tĂ©lĂ©copie et son numĂ©ro SIRET.]Mentionnez les renseignements permettant d'identifier votre socialeForme juridique AdresseTĂ©lĂ©phoneFaxEmailRCSSiretCode APEEventuel identifiant complĂ©mentaire n° de carte au rĂ©pertoire des mĂ©tiers, agrĂ©ment organisme de formation,
=>Si votre tampon comporte toutes ces informations, vous pouvez l'utiliser Ă  cet emplacement. Le candidat est un groupement d'entreprisesETAPE 1 Cochez cette case si vous vous prĂ©sentez sous la forme d'un 2 Cochez la case qui correspond au caractĂšre de votre groupement. Un groupement conjoint ou solidaireVous devez choisir le type de groupement que vous avez choisi de former " conjoint " ou " solidaire ". Il est important de noter que l'acheteur vous imposera le plus souvent de vous transformer en groupement solidaire au moment de l'attribution du marchĂ©. Une fois le choix effectuĂ© vous devez cocher la case correspondante " conjoint " ou " solidaire ". conjoint OU solidaireExplications Le groupement conjoint signifie que chaque entreprise n'est responsable que pour la seule partie qu'elle s'est engagĂ©e Ă  exĂ©cuter selon l'acte d' groupement solidaire signifie que les entreprises se sont engagĂ©es financiĂšrement et solidairement sur la totalitĂ© du marchĂ©. L'acte d'engagement indique la totalitĂ© du marchĂ© et l'ensemble des prestations que les membres du groupement s'engagent solidairement Ă  rĂ©aliser. L'acheteur, en gĂ©nĂ©ral, lors de difficultĂ©s se retournera contre le plus solvableETAPE 3 en cas de groupement conjointEn cas de groupement conjoint, le mandataire est solidaire si votre groupement est conjoint, prĂ©cisez si le mandataire est solidaire ou non. Il s'agira bien gĂ©nĂ©ralement d'une exigence trĂšs particuliĂšre de l'acheteur public. NON OU OUIE - Identification des membres du groupement et rĂ©partition des prestations.Tous les membres du groupement remplissent le tableau ci-dessous. En cas de groupement conjoint, les membres du groupement indiquent Ă©galement dans ce tableau la rĂ©partition des prestations que chacun d'entre eux s'engage Ă  rĂ©aliser.Si vous vous prĂ©sentez en groupement, tous les membres de ce groupement doivent s'identifier dans ce tableau. Les noms et coordonnĂ©es ainsi que l'identitĂ© du signataire doivent ĂȘtre mentionnĂ©s. Les Ă©lĂ©ments permettant d'identifier chacune des entreprises constituant le groupement doivent y figurer de la maniĂšre suivante N°duLotNom commercial et dĂ©nomination sociale, adresse de l’établissement *,adresse Ă©lectronique, numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone et de tĂ©lĂ©copie, numĂ©ro SIRET des membres du groupementPrestations exĂ©cutĂ©es par les membres du groupement **Nom et prĂ©nomdu signataire ***3SociĂ©tĂ© XAdresse TĂšl Fax Email RCSSiret PrĂ©cisez ici la rĂ©partition, telle que vous l'envisagez, de l'exĂ©cution du ici la rĂ©partition, telle que vous l'envisagez, de l'exĂ©cution du YAdresse TĂšl Fax Email RCSSiret PrĂ©cisez ici la rĂ©partition, telle que vous l'envisagez, de l'exĂ©cution du ici la rĂ©partition, telle que vous l'envisagez, de l'exĂ©cution du marchĂ©. . * PrĂ©ciser l'adresse du siĂšge social du membre du groupement si elle est diffĂ©rente de celle de l'Ă©tablissement.** Pour les groupements conjoints.*** Le signataire doit avoir le pouvoir d'engager la personne qu'il - Engagements du candidat individuel ou de chaque membre du candidat individuel ou chaque membre du groupement s'engage Ă  ne pas entrer dans un cas des mentionnĂ©s - Attestations sur l' candidat individuel ou chaque membre du groupement dĂ©clare sur l'honneur, en application des articles 43 et 44 du code des marchĂ©s publics et des articles 8 et 38 de l'ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 modifiĂ©e relative aux marchĂ©s passĂ©s par certaines personnes publiques ou privĂ©es non soumises au code des marchĂ©s publics a ne pas avoir fait l'objet, depuis moins de cinq ans, d'une condamnation dĂ©finitive pour l'une des infractions prĂ©vues par les articles suivants du code pĂ©nal 222-38, 222-40, 313-1 Ă  313-3, 314-1 Ă  314-3, 324-1 Ă  324-6, 421-2-1, 2Ăšme alinĂ©a de l'article 421-5, 433-1, 2Ăšme alinĂ©a de l'article 433-2, 8Ăšme alinĂ©a de l'article 434-9, 2Ăšme alinĂ©a de l'article 434-9-1, 435-3, 435-4, 435-9, 435-10, 441-1 Ă  441-7, 1er et 2Ăšme alinĂ©as de l'article 441-8, 441-9, 445-1 et 450-1 ; ou ne pas avoir fait l'objet d'une condamnation pour une infraction de mĂȘme nature dans un autre Etat de l'Union EuropĂ©enne ;b ne pas avoir fait l'objet, depuis moins de cinq ans d'une condamnation dĂ©finitive pour l'infraction prĂ©vue par l'article 1741 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ou une infraction de mĂȘme nature dans un autre Etat de l'Union EuropĂ©enne ;c ne pas avoir fait l'objet, depuis moins de cinq ans, d'une condamnation inscrite au bulletin n° 2 du casier judiciaire pour les infractions mentionnĂ©es aux articles L. 8221-1, L. 8221-3, L. 8221-5, L. 8231-1, L. 8241-1 et L. 8251-1 du code du travail ou des infractions de mĂȘme nature dans un autre Etat de l'Union EuropĂ©enne ;d ne pas ĂȘtre en Ă©tat de liquidation judiciaire ou ne pas faire l'objet d'une procĂ©dure Ă©quivalente rĂ©gie par un droit Ă©tranger ;e ne pas ĂȘtre dĂ©clarĂ© en Ă©tat de faillite personnelle ou ne pas faire l'objet d'une procĂ©dure Ă©quivalente rĂ©gie par un droit Ă©tranger ;f ne pas ĂȘtre admis au redressement judiciaire ou Ă  une procĂ©dure Ă©quivalente rĂ©gie par un droit Ă©tranger, sans justifier d'une habilitation Ă  poursuivre son activitĂ© pendant la durĂ©e prĂ©visible d'exĂ©cution du marchĂ© public ou de l'accord-cadre;g avoir, au 31 dĂ©cembre de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant celle au cours de laquelle a lieu le lancement de la consultation, souscrit les dĂ©clarations lui incombant en matiĂšre fiscale et sociale et acquittĂ© les impĂŽts et cotisations exigibles Ă  cette date, ou s'ĂȘtre acquittĂ© spontanĂ©ment de ces impĂŽts et cotisations avant la date du lancement de la prĂ©sente consultation ou avoir constituĂ© spontanĂ©ment avant cette date des garanties jugĂ©es suffisantes par le comptable ou l'organisme chargĂ© du recouvrement ;h ĂȘtre en rĂšgle, au cours de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant celle au cours de laquelle a lieu le lancement de la consultation, au regard des articles L. 5212-1, L. 5212-2, L. 5212-5 et L. 5212-9 du code du travail concernant l'emploi des travailleurs handicapĂ©s ;i que le travail est effectuĂ© par des salariĂ©s employĂ©s rĂ©guliĂšrement au regard des articles L. 1221-10, L. 3243-2 et R. 3243-1 du code du travail dans le cas oĂč les candidats emploient des salariĂ©s, conformĂ©ment Ă  l'article D. 8222-5-3° du code du travail, pour le candidat individuel ou membre du groupement Ă©tabli en France ;j fournir Ă  ses salariĂ©s des bulletins de paie comportant les mentions prĂ©vues Ă  l'article R. 3243-1 du code du travail, ou des documents Ă©quivalents, pour le candidat individuel ou membre du groupement Ă©tabli ou domiciliĂ© Ă  l'Ă©tranger ;k que les renseignements fournis dans le formulaire DC2 et ses annexes sont - cochant la case ci-dessous, vous dĂ©clarez que votre entreprise prĂ©sente les capacitĂ©s moyens humains et moyens techniques suffisant pour exĂ©cuter parfaitement le marchĂ© public ou l'accord Ă©lĂ©ments permettant d'Ă©tablir les capacitĂ©s du candidat sont le DC2 et tous les Ă©lĂ©ments demandĂ©s par l'acheteur public dans l'avis de publicitĂ©, le rĂšglement de la consultation ou la lettre de la case " DC2 " si vous communiquez avec votre candidature un DC2 et cochez la case " les documents Ă©tablissant ses capacitĂ©s, tels que demandĂ©s dans les documents de la consultation " si vous joignez simplement des documents annexes tels que prĂ©cisĂ© dans le rĂšglement de la consultation, l'AAPC ou la lettre de vous conseillons de communiquer systĂ©matiquement un DC2 et de le complĂ©ter si besoin avec des documents complĂ©mentaires vous permettant d'Ă©tablir votre candidat individuel ou chaque membre du groupement dĂ©clare prĂ©senter les capacitĂ©s nĂ©cessaires Ă  l'exĂ©cution du marchĂ© public ou de l'accord-cadre et produit Ă  cet effet Cocher la case correspondante. le formulaire DC2. les documents Ă©tablissant ses capacitĂ©s, tels que demandĂ©s dans les documents de la consultation. G - DĂ©signation du mandataire et habilitation en cas de groupement.Si vous vous prĂ©sentez sous la forme d'un groupement, vous devez dĂ©signer un des membres comme mandataire. Le choix du mandataire relĂšve d'une stratĂ©gie de rĂ©ponse. En gĂ©nĂ©ral le choix du mandataire se portera sur l'entreprise qui rĂ©alise la majeure partie du marchĂ©, ou qui aura un rĂŽle d'organisation et de gestion du mandataire reprĂ©sentera l'ensemble de ses cotraitants tout au long de l'exĂ©cution du membres du groupement dĂ©signent le mandataire suivant [Indiquer le nom commercial et la dĂ©nomination sociale du mandataire, les adresses de son Ă©tablissement et de son siĂšge social si elle est diffĂ©rente de celle de l'Ă©tablissement, son adresse Ă©lectronique, ses numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone et de tĂ©lĂ©copie et son numĂ©ro SIRET.]Indiquez les Ă©lĂ©ments permettant d'identifier le mandataire choisi par les membres du XAdresse TĂšl Fax Email RCSSiret Code APE Eventuel identifiant complĂ©mentaire n° de carte au rĂ©pertoire des mĂ©tiers, agrĂ©ment organisme de formation,
Les membres du groupement Cocher la case correspondante.signent individuellement l'offre du groupement et toutes modifications ultĂ©rieures du marchĂ© public ou de l'accord-cadre ;Cochez cette case, si vous souhaitez que chaque membre du groupement signe l'offre et soit informĂ© de toutes modifications qui pourraient mandat au mandataire, qui l'accepte, pour signer, en leur nom et pour leur compte, l'offre du groupement et toutes modifications ultĂ©rieures du marchĂ© public ou de l'accord-cadre, pour les reprĂ©senter vis-Ă -vis du pouvoir adjudicateur ou de l'entitĂ© adjudicatrice et pour coordonner l'ensemble des prestations ;Cocher cette case signifie que vous donnez ou que les membres du groupement, donnent, en signant le prĂ©sent DC1, les pouvoirs de signature et d'engagement des membres. Un mandat ou une dĂ©lĂ©gation de pouvoir spĂ©cifique n'est pas nĂ©cessaire. Le DC1 le remplace. Ainsi les membres du groupement ne signent que leur cadre respectif en rubrique donnĂ© mandat au mandataire dans les conditions dĂ©finies dans le document d'habilitation joint en annexe de la prĂ©sente lettre de candidature ;Cochez cette case si vous avez joint en annexe un mandat ou une dĂ©lĂ©gation de pouvoir prĂ©cisant les modalitĂ©s de la reprĂ©sentation par le mandataire. Vous dĂ©finissez ainsi les pouvoirs du mandataire pour la signature du marchĂ©. Ainsi les membres du groupement ne signent que leur cadre respectif en rubrique mandat au mandataire dans les conditions dĂ©finies ci-dessous ;Donner des prĂ©cisions sur l'Ă©tendue du mandat.Cochez cette case signifie que vous donnez ou que les membres du groupement, donnent, en signant le prĂ©sent DC1, les pouvoirs de signature et d'engagement des membres. Un mandat ou une dĂ©lĂ©gation de pouvoir spĂ©cifique n'est pas nĂ©cessaire. Le DC1 le remplace. Ainsi les membres du groupement ne signent que leur cadre respectif en rubrique vous considĂ©rez et formalisez des conditions particuliĂšres dans les pouvoirs donnĂ© au - Signature du candidat individuel ou de chaque membre du candidat individuel ou chaque membre du groupement renseigne son identitĂ© ainsi que sa qualitĂ©, le lieu de la signature, date et signe. En plus de la signature, il est vivement conseillĂ© d'apposer le tampon de la sociĂ©tĂ© dans la case prĂ©nom et qualitĂ©du signataire * Lieu et date de signature Signature * Le signataire doit avoir le pouvoir d'engager la personne qu'il de la derniĂšre mise Ă  jour 15/09/ liens utiles AmĂ©liorer son dossier de candidature aux marchĂ©s publicsMarchĂ© public de travaux Comment y rĂ©pondre efficacement ?La certification dans les MarchĂ©s Publics7 Ă©tapes pour rĂ©pondre concrĂštement Ă  un marchĂ© public
\n \n \n\narticle d 8222 5 du code du travail
Enapplication des articles D.8222-7 et 8 du Code du Travail, le titulaire , s'il est établi ou domicilié à l'étranger, est tenu de produire tous les six mois jusqu'à la fin de l'exécution du marché, les documents demandés par ledit article. En application des articles D.8254-2 à 5 du Code du Travail et avant la notification du marché, le titulaire doit remettre au maßtre de l
La personne qui contracte, lorsqu'elle n'est pas un particulier rĂ©pondant aux conditions fixĂ©es par l'article D. 8222-4, est considĂ©rĂ©e comme ayant procĂ©dĂ© aux vĂ©rifications imposĂ©es par l'article L. 8222-1 si elle se fait remettre par son cocontractant, lors de la conclusion et tous les six mois jusqu'Ă  la fin de son exĂ©cution 1° Une attestation de fourniture des dĂ©clarations sociales et de paiement des cotisations et contributions de sĂ©curitĂ© sociale prĂ©vue Ă  l'article L. 243-15 Ă©manant de l'organisme de protection sociale chargĂ© du recouvrement des cotisations et des contributions datant de moins de six mois dont elle s'assure de l'authenticitĂ© auprĂšs de l'organisme de recouvrement des cotisations de sĂ©curitĂ© Lorsque l'immatriculation du cocontractant au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ou au Registre national des entreprises en tant qu'entreprise du secteur des mĂ©tiers et de l'artisanat est obligatoire ou lorsqu'il s'agit d'une profession rĂ©glementĂ©e, l'un des documents suivants a Un extrait de l'inscription au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s K ou K bis ;b Un extrait d'immatriculation au Registre national des entreprises en tant qu'entreprise du secteur des mĂ©tiers et de l'artisanat ;c Un devis, un document publicitaire ou une correspondance professionnelle, Ă  condition qu'y soient mentionnĂ©s le nom ou la dĂ©nomination sociale, l'adresse complĂšte et le numĂ©ro d'immatriculation au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ou au Registre national des entreprises en tant qu'entreprise du secteur des mĂ©tiers et de l'artisanat ou Ă  une liste ou un tableau d'un ordre professionnel, ou la rĂ©fĂ©rence de l'agrĂ©ment dĂ©livrĂ© par l'autoritĂ© compĂ©tente ;d L'accusĂ© de rĂ©ception Ă©lectronique mentionnĂ© Ă  l'article R. 123-6 du code de commerce, Ă©manant du greffier du tribunal de commerce compĂ©tent ou de la chambre des mĂ©tiers et de l'artisanat Ă  l’article 18 du dĂ©cret n° 2022-1015 du 19 juillet 2022, ces dispositions entrent en vigueur Ă  compter du 1er janvier 2023. vaOWpT.
  • 85eojjadfm.pages.dev/259
  • 85eojjadfm.pages.dev/298
  • 85eojjadfm.pages.dev/2
  • 85eojjadfm.pages.dev/137
  • 85eojjadfm.pages.dev/206
  • 85eojjadfm.pages.dev/151
  • 85eojjadfm.pages.dev/34
  • 85eojjadfm.pages.dev/383
  • 85eojjadfm.pages.dev/128
  • article d 8222 5 du code du travail